Nyte Comics: Jasmine et Jafar, première version

Nytecomicsjasmineetjafar (2)

 

Slave Jasmine est l’une des choses les plus épicées que Disney ait jamais produite, et ce n’est pas un hasard si elle est populaires parmis ceux qui s’intéressent aux parodies coquines de la compagnie. Ajoutez à cela un antagoniste qui se transforme en monstre géant capable de vous avaler tout rond, et l’idée était toute trouvée pour Nyte, fervent pourvoyeur de bandes-dessinées vores. S’il n’était pas encore au sommet de son art à l’époque, son graphisme montre déjà une évolution notable par rapport à ses premières œuvres et fait un peu le pont entre sa vieille série des Epic Vore Battle of History, et les comics plus élaboré et qu’il produit de nos jours. Il sera néanmoins difficile de dater la chose avec précision puisque la publication originale semble avoir disparu de la surface d’Internet, nous laissant dans la panade pour trouver le titre original (le fichier est juste titré JasmineJafar) et l’année exacte de parution. Rien sur Aryon.com, DeviantArt, Gumroad ou Patreon, toutes les recherches amenant à un Princess Jasmine’s Dying Wish plus récent.

 

Nytecomicsjasmineetjafar (1)

 

Une nouvelle version conçue pour profiter de la sortie de l’horrible remake live action avec Will Smith, qui reprend le concept et certains dessins à l’identique pour un résultat plus soigné et à la hauteur du nouveau standard que s’est depuis donné le créateur. Car il faut admettre que cette première mouture est extrêmement limité, offrant peu en terme de contenu et plus proche du fanart que de la BD. Pas de contexte, pas de dialogue et une narration expéditive qui aurait mérité de s’attarder un peu plus sur les éléments qu’elle met en scène. Difficile à critiquer considérant la nature du sujet, fetish spécifique qui lorgne tant du côté du damsel in distress que de l’horreur pure, et il faut admettre que les choses sont plutôt bien structurée avec une page entière dédiée à chacune des grandes étapes: avalement, dégustation et digestion. Les choses commencent donc avec une pauvre Jasmine fuyant un Jafar transformé en serpent géant, la jeune fille devenant prisonnière du reptile qui s’enroule autour de son corps. Sa tenue de danseuse du ventre s’abime et la voilà seins nus à la merci de la créature qui va l’avaler toute ronde, commençant par la tête pour s’envoyer le reste progressivement.

 

Nytecomicsjasmineetjafar (3)

 

L’héroïne glisse dans son gosier, désormais coincée par les muqueuses serrées de l’organisme et sa peau nue couverte de fluides corporels. L’effroie et l’inconfort se lit sur son visage mais elle est vite terrassée par la situation, se tenant là à moitiée assomée. Alors que ses vêtements se dissolvent sous l’effet des sucs gastriques, la panique reprend suivi de la douleur. L’ultime case montre la princesse enfin morte et à moitiée digérée dans le ventre de la bête, son épiderme ayant en parti disparu pour révéler la membrane musculaire rouge-sang qui se trouve en-dessous. Rien de plus, mais les expressions faciales suffisent amplement. Notamment cette Jasmine toute nue aux yeux exhorbités, alors qu’elle comprend son triste sort,. On saluera aussi cette volontée d’exposer le corps voluptueux de la victime, avec une poitrine généreuse que Jafar fait lentement passer dans sa gueule. C’est sûr il y avait potentiel à exploiter un peu mieux la situation (la langue fourchue, la constriction) et la conclusion s’adresse avant tout aux fans de snuff (sacré détail que le blanc des os sur les doigts de la main, discret mais effectif), mais pour un petit fix rapide de vore cela fera parfaitement l’affaire. Et ceux qui n’y comprendront rien n’auront rien à dire, puisqu’ils n’ont rien à faire là de toute façon !

Uploadé quelques années avant 2019, aux environs de 2014.

 

Nytecomicsjasmineetjafar (4)

Leave a reply

You may use these HTML tags and attributes: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>