Les films Resident Evil n’entretenaient aucun rapport avec la grande saga de Capcom et les derniers scenarii des jeux vidéos commençaient sérieusement à sombrer dans les abysses du n’importe quoi (le Wesker Terminator et la mutante douée de pyrokinésie de Code: Veronica, tout Resident Evil 4) au point que l’on se demandait si on allait un jour avoir enfin une suite à la fameuse croisade des S.T.A.R.S. contre Umbrella, après la destruction de Raccoon City. Heureusement Capcom semble avoir reprit son bébé en main, et après une preview alléchante (Resident Evil 5) et une conclusion récente à un chapitre de la saga (Umbrella Chronicles sur Wii), voici qu’arrive un film d’animation, Resident Evil: Degeneration. Avec Advent Children pour Final Fantasy VII, voilà donc un nouveau ...
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Ayé il est fini, ayé est il prêt à générer un nouvel opus. Resident Evil troisième du nom, le nouveau rejeton de l’une des plus grandes horreurs cinématographiques, arrive donc sous peu au cinéma. Plus besoin de présenter l’histoire qui se passera dans le désert du Nevada, près de Las Vegas, où Alice rencontre Carlos et Claire Redefield (Hmm ? Ces deux là ne sont pas supposés ce connaitre ? Oui mais vous savez au point où on en est maintenant…) pour taper sur Umbrella.
Et bien aux premières images, Resident Evil: Extinction est bien tel qu’on se l’imaginait. Un gros Z très stupide et sans aucun rapport aucun avec les jeux. Pourtant, et oui pourtant, la présence de Russell Mulcahy semble toutefois rehausser un peu le tout...
Lire...Cabin Fever… Un bon film pour certains, une sombre merde pour d’autre. Pour moi en tout cas, l’un des finals les plus hallucinant depuis celui des Rats de Manhattan de Bruno Mattei… Qui ne se souvient pas de se brave bouseux qui, en début de film, explique que la présence d’un fusil chez lui “c’est pour les nègres” avant de voir au final une bande de Blacks tout droit sortie du ghetto, R’N’B en fond sonore, venir s’en taper cinq avec lui, venant tout simplement venir récupérer leur fusil qu’il avait nettoyé pour eux !
Mais rien, non rien ne pourra jamais nous faire oublier cet étrange petit garçon neuneu, coiffé comme un métalleux du haut de ses 8 ans, se mettre subitement et sans aucune raison à faire du kung-fu au ralenti en hurlant “PANCAKE” à tout-va.
Bref...
Lire...NEO GENESIS
– Introduction –
par Pern du Chaos
L’homme resserra le col de sa veste autour de son cou, exhalant lentement un ruban de vapeur. La neige tombait drue, comme une chape qui aurait voulu masquer le monde.
L’homme dérapa légèrement en avançant dans la neige:
– Merde ! Vas-y continue, tu n’arriveras pas a me découra…
L’homme vacilla quelques instants avant de s’écraser lourdement sur le dos dans un nuage de poudreuse. Son visage afficha l’air de celui qui commence a entrevoir le sommet de l’iceberg et est conscient que ce n’est que le début des ennuis.
Une sonnerie de téléphone
Il se tâta les poches et fini par extraire de l’une d’elle un petit combiné portable. Un coup d’œil sur l’écran extérieur de l’engin, un haussement de sourcil, un soupir...
Lire...Webs
(2003)
Petit téléfilm de Sci-Fi Channel calibré pour les samedi soirs, Webs est être l’une de ces multiples productions au rabais prévues pour animer la chaîne productrice. Au mieux un nanar, au pire un navet, ce genre de film est supposé être visible par le grand public et prive donc les aficionados de tout ce qui pourrait leur plaire (édulcoration maximisé, scénario prétexte, pas d’insultes, de violence graphique ou d’ambiance glauque). Les exemples sont très nombreux et rien n’indique que Webs fait exception, et pourtant c’est bel et bien à une vraie petite série B que l’on a affaire !
L’histoire est pourtant à la limite du ridicule: à Chicago, une équipe d’électriciens arrive dans un immeuble abandonné pour en couper le courant avant la démo...
Lire...Fiche de film faite sur le forum de Nanarland, dans la catégorie « On s’est fait avoir ». Une section où l’on évoque des films que l’on pensait être des nanars mais qui ne le sont finalement pas, ou bien parce que trop mauvais pour être amusant, ou bien parce qu’ils sont meilleurs qu’on ne le pensait. On n’y écrit pas véritablement de chronique mais plutôt un petit texte où l’on évoque brièvement pour quelles raisons le film n’entre pas dans la catégorie principale du site. Il s’agit ici du téléfilm Webs, et j’ai repris plusieurs éléments évoqués ici afin de construire une véritable chronique pour le blog.
“Je m’attendais à un petit nanar tendance Nu Image ou UFO, un truc à base de CGI pourris, de beaucoup de parlote et de scénario jetable, d’autant que le pitch...
Lire...Rabid
(1977)
Lorsque David Cronenberg sortit Frissons, il provoqua un scandale qui aurait pu laisser à supposer que sa carrière cinématographique s’arrêterait là. Mais le film remporta un succès qui joua en sa faveur, lui permettant de poursuivre dans la réalisation. Deux ans après son premier long métrage, il livre ce Rage qui navigue dans la même voie que son prédécesseur et en reprend même les grandes lignes.
Rage raconte comment, après un accident de moto lui valant une greffe de peau, une jeune femme subit une étrange mutation: elle possède désormais sous son aisselle droite un espèce de dard, semblable à ceux des moustiques, qu’elle utilise pour absorber du sang humain qui, désormais, constitue sa seule nourriture...
Lire...Shivers
(1975)
Après des essais comme From the Drain, Stereo ou Crimes of the Future, puis quelques réalisations pour la télévision, David Cronenberg voit enfin la possibilité de travailler sur un véritable premier film. Un film plus professionnel et abouti, mais surtout un film qui sera le premier à intégrer les thématiques chères au réalisateur canadien. Ce film c’est Shivers, ex The Parasite Complex, devenu The Parasite Murders pour son exploitation aux États-Unis et par ailleurs souvent renommé en fonction des distributeurs, se retrouvant affublé de titres tels que They Came From Within ou encore cet hallucinant Orgy of the Blood Parasites.
L’histoire se déroule dans une cité résidentielle huppée, située sur une île près des côtes du Canada, où les habitants vivent...
Lire...Gore N°35
La Mort Visqueuse 2
Breeding Ground
(1985)
La Mort Visqueuse, premier roman de l’écrivain britannique Shaun Hutson, fut l’un de ses plus grand succès et demeure son livre le plus connu. Un best-seller va même faire l’objet d’une adaptation cinématographique quelques années plus tard et auquel l’écrivain se décide à donner une séquelle: Breeding Ground. L’idée est de reprendre la recette gagnante du premier opus mais de voir plus grand, Hutson reprenant la trame de son livre qu’il transpose alors au cœur de Londres.
A la fin de La Mort Visqueuse, l’auteur laissait planer le doute quant à l’éradication totale des limaces...
Lire...Dimanche 22 Juin 2001
Incident mineur ce matin.
Alors que nous devions remplacer le blindé qui bloque les portes arrières par un camion, et le faire rentrer dans un entrepôt juxtaposé au magasin par souci de sécurité, nous avons été agressé par les zombies. Ils étaient tous massés à l’avant du centre commercial mais quelque chose les a attirés: une odeur de sang.
Natasha nous a avouée un peu plus tard qu’elle avait ses règles. Ce n’est pas grave car la mission s’est accomplie sans problème. Elle devra cependant éviter de sortir ces prochains jours.
13h12. Arrivée de l’hélico de l’autre groupe. Il y a eu un peu de tension à la venue de ces étrangers dans notre zone, mais elle s’est vite dissipée.
Nous avons donc fait la connaissance de Roger Peterson (35 ans), un milit...
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