Ça y est, on approche enfin du climax de l’histoire avec ce septième tome.
Pendant que le QG d’Hellsing est attaqué, Seras Victoria va connaître une évolution radicale et devenir autre chose que la petite fille qu’elle était jusqu’ici, tandis que périra un personnage secondaire des plus sympathique… Dans la foulée, on lève le voile sur le passé de la jeune femme qui se révèle être des plus sombre (on comprend mieux pourquoi elle a décidé de s’engager dans la police), notre petit gros nazi s’enfonce de plus en plus dans la folie et le Vatican entre enfin en scène.
Gore et violent, Hellsing 7 l’est. La guerre se fait encore plus violente avec l’arrivée d’un millier de Paladins sous les ordres du désormais Archevêque Maxwell, tous préparés à exterminer du vampires nazis comme du pauvres protestants innocents. Les combats se font dantesque et la sensation d’œuvre épique grandit de plus en plus: Maxwell pète complètement les plombs en se livrant à un véritable génocide, les persos de Crossfire arrivent dans l’histoire, Anderson est de retour et il est pas content, allant jusqu’à montrer des signes d’opposition face à son supérieur, tandis que Seras lutte contre la puissante illusionniste Zorin et que Walter revient, rajeunit et au côté d’un certain loup-garou </span(aurait-il été mordu…?).
Alucard, grand absent du volume, annonce cependant son retour en une imagerie forte de signification lorsqu’il débarque à Londres à bord d’un nouveau Demeter (le porte-avions russe se nomme le Dimitri). Dracula dans toute sa splendeur. A côté de ça, l’humour habituel de Hirano avec ses dessins déformés (dont en couverture sous la jaquette une “figurine maléfique” représentée par une poupée Seras aux gros seins).
Vite la suite !
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