Ovidio G. Assonitis tagged posts

Curse II: The Bite (1989) | The Bite

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Curse II: The Bite

(1989)

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Si l’on ne peut pas dire que The Curse ait connu un succès extraordinaire à sa sortie, cette adaptation italo-américaine de La Couleur Tombée du Ciel de H.P. Lovecraft se montra quand même suffisament profitable pour que son producteur se risque à capitaliser sur son titre à peine un an plus tard. Mais Ovidio G. Assonitis n’est pas Crésus, et produire une véritable suite lui coûterait trop de temps et d’argent. Aussi il décida d’avoir recours au même gimmick utilisé avec un autre de ses films, Beyond the Door, en collant simplement un numéro 2 sur l’affiche d’une œuvre sans aucun rapport, et si possible déjà disponible pour la balancer rapidement en rayon vidéo et attirer le chaland. Ainsi, si Beyond the Door II cachait en fait Les Démons...

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The Curse (1987)

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The Curse

(1987)

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La Couleur Tombée du Ciel de H.P. Lovecraft a connu plusieurs adaptations au cinéma, du Messager du Diable de 1965 avec son Boris Karloff radioactif à Color Out of Space en 2019 avec un Nicolas Cage exalté. Entre les deux, les années 80 nous apportèrent The Curse, chez nous joliment titré La Malédiction Céleste mais qui s’appelait à l’origine The Well (le puit, élément important de la nouvelle) du temps où le projet fut annoncé, puis The Farm en cours de tournage. Une version assez particulière puisqu’il s’agit d’une coproduction italo-américaine supervisée par un mogule du Bis, Ovidio G. Assonitis (Beyond the Door, Piranha 2, Tentacules), et supposément par Lucio Fulci lui-même ! Un producteur associé d’après le générique qui anglicise son nom en ...

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Tentacles (1977)

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Tentacles

(1977)

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Avant que la sharksploitation ne deviennent la mode incontrôlable que l’on maintenant, on parlait plutôt de jawsploitation. C’était globalement la même chose, sauf que l’idée était d’imiter Les Dents de la Mer en général plutôt que de se focaliser sur le requin. Les titres qui entraient dans cette catégorie avaient tendance à recopier la formule de Steven Spielberg en modifiant simplement la menace, allant parfois jusqu’à quitter les plages pour s’installer ailleurs, comme Grizzly et son gigantesque plantigrade. Évidemment des tas de monstres marins firent surface à leurs tours, du banc de piranhas à l’orque épaulard en passant par le crocodile et bien sûr la pieuvre, comme c’est le cas dans ce Tentacules sorti en 1977, tout juste un an avant Les D...

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