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Apparition plus qu’anecdotique d’une jolie danseuse dans le film Chinese Coffee d’Al Pacino, juste quelques secondes et en arrière plan. Tout ça tient de la vaste blague puisqu’il s’agit d’un simple plan reflétant l’état d’esprit d’un des personnages principaux et non d’une véritable scène. Pour information, la danseuse se nomme Moet Meira, une habituée de la figuration non crédité au générique (comme c’est ici le cas) pour des scènes de danse. Pour dire la vérité, cette brève séquence est suivie par un autre gag montrant le même personnage durant une session de photographie avec une seconde danseuse...

Dans la catégorie “on s’est fait avoir”, Rendition se pose là. En fait non, puisque dans l’absolu ce film n’a rien à voir avec la danse orientale. Mais tout de même. Mes recherches m’ont guidés vers une série de films à vérifier pour cette section de la Mysterious Machine, et en premier lieu je m’attendais à y trouver au moins un passage mis en scène avec la qualité propre aux grosses productions comme celle-ci. En fouillant à travers le film, je ne trouve au final qu’une brève apparition d’une danseuse égyptienne dans un cabaret. Une très belle femme que je ne peux malheureusement qu’entr’apercevoir dans un coin de l’écran, toute la scène se focalisant sur son personnage principal au téléphone...

Dans le film Capitaine Conan de Bertrand Tavernier, une drame historique se déroulant durant la prise des Balkans, se trouve cette très courte scène de danse dans un restaurant. Une apparition anecdotique tant elle est expédiée en quelques secondes et absolument pas mise en valeur. Le gros problème vient déjà de son introduction, où le présentateur du spectacle décrit la performance que s’apprête a voir le public comme “une danse, hum hum, artistique”, sous-entendant grossièrement qu’il ne s’agit que d’un numéro de charme sans valeur. Passe encore cette désignation, l’histoire se déroulant peu avant les années 20 à une époque où la danse orientale était bien généralement perçue comme une forme de séduction à des fins purement sexuelles...

Apparition surprise là encore, au cœur de ce drame historique retraçant la vie amoureuse de Jeanne la Folle et Philippe de Habsbourg au XVIème Siècle. L’intrigue se concentre sur la relation tumultueuse des deux amants, le roi délaissant son épouse qui devient maladivement jalouse avec le temps. La belle danseuse Maure fait son apparition durant l’une des escapades du Roi, se produisant sur la scène d’une petite taverne. Dans le film elle est incarnée par la sublime Manuela Arcuri, actrice italienne qui n’hésite pas à dévoiler tous ses charmes lors d’une scène de nue. Alors que son rôle devient plus important par la suite, sa prestation se limite cependant à sa scène d’introduction, malheureusement bien trop courte...

Petit passage du côté des fêtes johanniques orléanaises, ce 1er mai, avec la nouvelle tenue de danse orientale de Nathalie, affectueusement surnommée “Prune” en raison de ses couleurs. Un cadre sympathique pour mettre en scène le costume et ses manches voilées qui voltigent très joliment !

Amusante apparition d’une danseuse au cours d’un épisode de la série culte Batman des années 60. Cela se passe dans l’épisode Hizzonner the Penguin (S2E17), où le Pingouin en question participe à la campagne électorale pour le poste de Maire de Gotham City. Son idée pour obtenir la majorité est tout simplement d’amuser l’électeur en lui proposant des spectacles et des jolies filles. Une danseuse du ventre ? C’est le succès assuré. Celle-ci apparaît sous le nom de scène de Little Egypt, mais il faut savoir que ce pseudonyme est désormais un nom générique pour désigner les danseuses orientales depuis longtemps, après son utilisation par deux grandes artistes (Farida Mazar Spyropoulos et Ashea Wabe) qui firent de nombreuses émules...

Impossible de dormir en raison du décalage des vacances de Noël (et du stress de Nathalie pour ses oraux). Il est 3h du matin passé et il reste peu de temps avant de devoir se lever pour la Fac, du coup nous engageons une nuit blanche (une première pour elle !) en raison de notre agitation. Nous avons passé les trois derniers jours à nous regarder l’intégral des Rocky et nous sommes à court de films “Expendables”, du coup Nathalie prend le premier film qui traîne sur la table: Whatever Lola Wants, que nous avons vu au ciné il y a quelques années. Un DVD que j’ai acheté il y a plusieurs mois maintenant et que je n’ai toujours pas regardé.

En vérité, nous le mettons juste pour nous distraire et papoter, mais nous suivons finalement plutôt bien l’œuvre encore une fois...

Le site Alkemya est notre bond dans le steampunk, la création de costume et la participations à des évènements et convention. Alchemy (ou Alkemya) est une petite mascotte représente l’association à travers quelques dessins devant illustrer nos différents article pour tous les sujet. Une jeune fille qui devrait grandir à l’âge adulte au fil des ans et des publications. C’est Nathalie qui s’occupera de faire les véritables illustrations en reprenant ces images, mais en attendant nous utilisons ces brouillons pour garder notre idée en tête.

La première série est une recherche pour le message d’ouverture, qui montre donc Alchemy souhaiter la bienvenu aux visiteurs...

Bonjour à toutes et à tous

et bienvenue sur Alkemya !

Vous voilà sur la première version d’un site dédié à la culture alternative, c’est-à-dire « autre » que ce que le bon goût prône comme étant unique et définitif. Le but d’Alkemya est de faire découvrir au plus grand nombre tout ce qui touche aux œuvres différentes, méconnues, en présentant nos trouvailles sur différents médias: films, musiques, dessins, costumes, textes ou photographies…

Notre but est également de faire de la publicité aux jeunes auteurs, créateurs et associations et de reporter certains évènements culturels intéressant...

Nouvelle tentative de crayonné et de peinture aquarelle en suivant la technique de Nathalie. Je suis revenu à ce qu’elle m’a expliqué plutôt que de partir dans un effet de style grossier et je commence légèrement à me dépatouiller un peu avec mon pinceau, mon eau et mes mélanges. Bien sûr j’ai encore beaucoup à faire…

J’ai improvisé ce qui ressemble plus à un croquis qu’autre chose en matière de dessin. D’ailleurs le crayonné était clairement une version très simplifiée de ce que j’avais en tête et je l’ai finalement à peine retouché au stylo par la suite. Car si l’on peut le corriger assez aisément, il arrive que le repassage au noir gâche quelques traits qui étaient très bien à l’origine...