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The Twilight Zone (2.15) – The Invaders (1961)

ROAD TO HALLOWEEN V

The Twilight Zone

The Invaders

(1961)

On ne présente plus Richard Matheson, grand auteur de science-fiction qui a sa place parmi les plus grands. Mais outre son impressionnante bibliographie, il ne faut pas oublier qu’il fut l’un des piliers derrières la toute aussi importe série La Quatrième Dimension – en fait la cinquième, la version française s’étant un peu plantée dans la numérotation (mais pas de soucis, le créateur aussi selon une anecdote certainement à l’origine de cette traduction). Il en aura écrit de nombreux épisodes et ceux-ci comptent évidemment parmi les meilleurs, les plus mémorables ou les plus en avance sur leurs temps. Et à l’origine de l’épisode The Invaders, qui fait parti de ces étranges expérimentations de la saison 2...

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Tales From the Darkside (2.05) – Halloween Candy (1985)

ROAD TO HALLOWEEN V

Tales From the Darkside

Halloween Candy

(1985)

Trick or treat.

J’ai déjà fait, il y a longtemps, une introduction à la série Tales From the Darkside, pour expliquer qu’il ne s’agit pas que d’un précurseurs aux Contes de la Crypte de HBO mais aussi de la version télévisée de Creepshow. Et si quelques épisodes se rapprochaient un peu plus de La Quatrième Dimension que des EC Comics, nombreux sont les dignes héritiers du film de George Romero et de Stephen King. Dans le Top 2 on retrouve cet Halloween Candy au côté de Inside the Closet, chacun mettant en scène un petit monstre en caoutchouc, et chacun ayant été réalisé par Tom Savini ! Car oui, avant même de tourner le très bon remake de La Nuit des Morts-Vivants, le célèbre maquilleur...

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Leprechaun: Back 2 tha Hood (2003)

Leprechaun: Back 2 tha Hood

(2003)

“Even if you steal for God, you still have to pay the Devil.

Compte-tenu des mystérieux problèmes de production dont a souffert Leprechaun in the Hood, il n’est pas étonnant de voir la Trimark plaquer la franchise. Celle-ci est heureusement récupérée par Lions Gate (qui en toute honnêteté récupère un peu n’importe quoi dans son catalogue) qui engendre un nouvel opus après quelques années de gestation. Bonne nouvelle: Gabe Bartalos et Warwick Davis reviennent, garantissant la continuité entre ce nouveau Leprechaun et les précédents, et assurant surtout le retour de la fanbase. Car bien que la série change de bannière, la formule reste la même et l’idée est de continuer les aventures du lutin irlandais comme d’habitude...

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Leprechaun in the Hood (2000)

Leprechaun in the Hood

(2000)

A friend with weed is a friend indeed

Il est loin le temps où la Trimark faisait tout pour imposer son Leprechaun, entre produits dérivés et parades pour le premier opus, et budget confortable avec sortie cinéma pour le second. Arrivé à Leprechaun 5, qui débarque tardivement après un rythme initial d’un film par an (quatre années d’hibernation), la stratégie marketing se montre discrète et se contente de reprendre le même gimmick que dans les volets précédents – placer le lutin Irlandais dans un cadre décalé – pour vendre son produit. Cette fois-ci le ghetto, alors très tendance en cette fin 90s / début 2000 avec les DTV de Ice-T, Snoop Dogg, Coolio et DMX qui fleurissent dans les programmes télé et les rayons DVD. Las, ...

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Leprechaun 4: In Space (1996)

Leprechaun 4: In Space

(1996)

“As Shakespeare says, shit happens.

Suite à sa très bonne expérience avec Leprechaun 3, Brian Trenchard-Smith rempile de son propre chef lorsque la Trimark annonce un quatrième volet aux aventures du farfadet meurtrier. C’est lui qui propose le pitch de ce nouvel opus, décidant de poursuivre sur la lancée humoristique amorcée avec le dernier film et choisissant d’expédier le lutin… dans l’espace ! De la parodie volontaire qui permet de changer de cadre et surtout d’adresser un clin d’œil au public quant à la manière d’accueillir la franchise. Leprechaun n’est pas Chucky, ni Freddy, et tend plus vers l’humour que l’horreur. Avec une telle idée, l’Australien peut même tirer partie de son petit budget pour rendre hommage à l’esthétisme...

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Leprechaun 3 (1995)

Leprechaun 3

(1995)

Scott. Come over to the Green Side. I’ll make you rich.

Les retours sur investissements de Leprechaun 2 ont dû être suffisamment bon pour engendrer un nouveau film, mais pas assez pour justifier la sortie de celui-ci sur les grands écrans. Retour à la case départ – et au rayon vidéo – pour la franchise, avec ce Leprechaun 3 sorti là encore tout juste un an après le précédent. Les coupes budgétaires se ressentent fortement et tout au long du film il est possible de pointer du doigt les petits “défauts” liés à la production, entre des recyclages de plans, les allez-retour des protagonistes dans les mêmes lieux, quelques imperfections dans les effets spéciaux et, étrangement, d’occasionnelles soucis de mise au point avec la caméra ! Po...

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Leprechaun 2 (1994)

Leprechaun 2

(1994)

Cry as you may, cry as you might.
It’s going to be one hell of a wedding night.

On a souvent tendance à dire que les suites sont inférieures aux originaux, que les n°2 ne pourront jamais égaliser ou surpasser leurs prédécesseurs. Cette andouille de Kevin Williamson en a même fait un running gag dans son très nul Scream 2, se trouvant incapable de citer le moindre exemple. Ce n’est pourtant pas ça qui manque dans l’univers des films d’horreur et de la série B, et plusieurs titres viennent immédiatement en tête: Critters 2, Evil Dead 2, Maniac Cop 2, Puppet Master 2… et donc Leprechaun 2, qui débarque tout juste un an après le premier opus. Une sortie qui semble précipité, mais avec deux fois le budget de son prédécesseur et la prévision d&rs...

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Leprechaun – Limited Collector’s Edition (1992)

Leprechaun

Limited Collector’s Edition

(1992)

Techniquement, nous avons là le tout premier opus de la franchise Leprechaun, avant même le film original de Mark Jones. Conçu comme un gadget promotionnel durant la production, ce petit comic-book d’une dizaine de pages fut distribué en 1992, soit quelques mois avant la sortie officielle du long-métrage, et sert (supposément) de préquelle à l’histoire. En vérité les auteurs n’ont dû obtenir qu’une version tronquée du script puisque leur récit ne se raccorde pas vraiment avec le film sur les petits détails. Personne ne s’en souciera et pour cause: très peu savent de toute façon que cet ouvrage existe ! C’est bien dommage puisque, outre son lien avec la saga du farfadet meurtrier, ce Leprechaun version papier est une reli...

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Leprechaun (1993)

Leprechaun

(1993)

Fuck you, Lucky Charms !

Si la New Line Cinema est connue sous le nom de “The House That Freddy Built”, car devant un succès phénoménal aux Griffes de la Nuit qui la plaça dans la cours des grands, Trimark Pictures pourrait, elle, être surnommée “The Little House That Leprechaun Built”. Car Leprechaun est son seul véritable titre de gloire. Et si je rajoute le “petit” ce n’est pas tellement pour faire une mauvaise vanne mais surtout parce que la compagnie n’a jamais vraiment décollée, ne produisant que de modestes films: Kickboxer 2, Dolly Dearest, King Cobra, Le Dentiste… Essentiellement de la série B de vidéoclubs, un marché alors en hausse en ces années 90. Sans se placer en concurrente directe de la Full Moon, il faut reconnai...

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Le Démon et l’Ourson (Look Who’s Talking Too, 1990)

Lost (and found) in the 5th Dimension

Épisode 16

LE DÉMON ET L’OURSON

Look Who’s Talking Too (1990)

Il y a des films auxquels il semble impossible d’échapper à certains moments, et puis avec les années ils disparaissent de toutes les mémoires comme s’ils n’avaient jamais existé. Par exemple, vous souvenez-vous du film Allô Maman, Ici Bébé, avec John Travolta ? Moi non plus, si ce n’est pour quelques images. Je me rappelle d’une intro où les spermatozoïdes commentent leur course à l’ovule et du principe qui était d’entendre le bébé parler comme un adulte, commentant la vie de couple de sa mère et de son nouveau petit ami, et des situations entre adultes et tout petits...

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