Secret Slave
II. La Esmeralda
L’air lui paru tout de suite plus frais et respirable que la fournaise du train fantôme. Sur le toit règnaient quelques sorcières, pendus et pauvres hères enfermés dans des cages suspendues, mais surtout trônaient les lettres géantes énonçant le nom de la maison hanté: Horreur Show. Un barbarisme mélangeant français et anglais, comme on en trouve dans toutes les fêtes foraines qui se respectent. Entre les deux mots, un autre fauteuil, dont le dossier était surmonté d’un crâne géant couvert de diodes. C’est là que Vincent se positionnait parfois, en costume, prenant la pose pour les photographes d’occasion, où faisant signe à quelques clients pour les inciter à entrer...
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