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Un nouvel article pour la catégorie des objets communs. Il s’agit d’un simple Jack-in-the-Box d’un air un peu démoniaque. Avec ses dents pointues, ses yeux rouges et son crâne dégarnie, il a quelque chose de terrifiant, très loin du joyeux bouffon que l’on peut voir peint sur la boite juste en-dessous…

Source: From a Whisper to a Scream (segment #2)
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Cette grande bannière de fête foraine remonte autour des années 20/30. Elle appartenait a l’un de ces cirques itinérant qui sillonnaient les États-Unis au début du siècle. Il est impossible de ne pas remarquer le nom inscrit sur la banderole: Lovecraft. Je vous rassure, il n’y a aucune relation entre le célèbre écrivain et ces gens du spectacle. Compte tenu de l’époque, il est probable que les forains aient utilisés son nom en référence à ses histoires d’horreur, dans l’idée d’attirer la foule, ou bien en rapport à son goût du mystère et de l’étrange. Bref, s’il est presque décevant de pas tenir un élément inédit de la vie de H.P. Lovecraft, cela demeure quand même une belle curiosité.

Source: From a Whisper to a Scream (segment #3)
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Voici sans doute l’un des artefacts les plus précieux de notre univers. Il s’agit ni plus ni moins que de la clé qui ouvre ouvre la tombe de Cthulhu, immergé dans sa demeure de R’lyeh. Lorsque les étoiles s’aligneront et que la cité surgira des eaux, alors l’objet permettra de libérer le dieu endormi. Cette relique fut façonnée par les Grands Anciens eux-mêmes via un savoir et des talents depuis longtemps perdus, et elle ne peut être détruite par l’Homme ou par aucune force connue…

Elle fut construite en deux parties, lesquelles furent longtemps tenues séparées: l’une perdue dans la dépression de Qattara, l’autre gardée par le Conseil de Cthulhu au sein de l’Université de Miskatonic...

Voilà une arme atypique, étrange hybride entre le masse et le harpon. Elle est unique et n’est employée que par les membres du Conseil de Cthulhu, une organisation secrète formé par l’écrivain H.P. Lovecraft lui-même. Alors attention, un peu d’histoire, car il convient bien de différencier le Conseil de Cthulhu et le célèbre Culte de Cthulhu. Si ce dernier a été formé sous l’influence de la divinité pour préparer son réveil, le Conseil a été fondé par le romancier. Pour préparer lui aussi le monde au retour éventuel des Grands Anciens, il a déguisé ses visions et cauchemars en fictions.

Le Conseil, qui prend siège à la fameuse Université Miskatonic d’Arkham, dans le Massachusetts, a pour but de protéger le monde de ces abominations...

Une carte du monde très ancienne, frappé du sceau du plus célèbre des Grands Anciens: Cthulhu. Étant donné son âge, elle est bien sûr très abîmés (plusieurs trous et déchirures) et il convient d’en prendre le plus grand soin. Nous n’avons pas daté le document, toutefois on peut sans aucun doute l’estimer vieux de plusieurs siècles.

Il s’agit d’une carte indiquant la localisation d’objets précieux. De vieilles reliques qu’il convient à tout prix de retrouver et de protéger puisqu’elles sont en relations avec les Grands Anciens et leur réveil éventuel. L’une de ces reliques est la fameuse clé de la Cité de R’lyeh, où est enfermé Cthulhu lui-même. Nous avons pu localiser une autre de ces reliques en Antarctique, là où résident les ruines d’une Cité des Grand...

“I am the Bishop of Battle, master of all I survey.
I have 13 progressivly harder levels. Try me if you dare.
Insert coin.”

Qui dit antiquité dit antiquité technologique. Voilà une borne d’arcade datant des années 80, c’est un jeu vidéo plutôt obscure que très peu vont reconnaître: The Bishop of Battle. Je l’ai récupéré dans la salle d’arcade d’une grande galerie commerciale américaine, elle fonctionne encore parfaitement. Il s’agit d’un jeu de tir multidirectionnel en 3D isométrique, au gameplay similaire a celui de Berserk (1980) et sa suite Frenzy (1982). Le joueur y incarne un personnage armé d’un laser et devant exterminer ses ennemis dans une série de niveaux construit comme des labyrinthes.

La légende veut que le 13ème et dernier leve...

Das Teufel Nagetier, de l’allemand ancien que l’on pourrait traduire par “le rongeur maléfique”. Non bien sûr, il ne s’agit pas du tout du nom de cet ouvrage mais simplement de l’un de ses sujets. Je ne possède pas beaucoup d’information sur ce livre et je ne connais même pas son véritable titre ! Tout ce que je peux en dire, c’est qu’il provient d’Allemagne et qu’il remonte aux années 1600.

Il traite de différents sujets, mais l’un d’entre eux m’a vraiment interpellé. C’est celui d’un vieux mythe, le fameux rongeur maléfique. Une créature qui apparemment terrorisait la population européenne au XVIIème Siècle, et pour cause ! Le Teufel Nagetier n’a rien d’un vulgaire rat, c’est un véritable monstre, gigantesque (voyez la gravure, on dirait Godzilla !) et posséda...

Cette antiquité est une véritable œuvre d’art, une ancienne statuette en jade provenant de Chine. Elle a été découverte à Hong Kong, dans une étrange boutique similaire a la nôtre. Les plus attentifs remarqueront une inscription sur le socle de la figurine: ce texte, dont la toute dernière partie est illisible car effacée avec le temps, possède une signification de très haute importance ! En effet, la statuette exauce des vœux. Trois vœux précisément, et seulement à son propriétaire. Parce que la statuette elle-même nous donne l’avertissement, lequel peut ne pas être compris puisque quelques mots on fini par disparaître, je me permets de clarifier le message:

Oui, à la manière de la lampe d’Aladdin, n’importe lequel de vos souhaits se réalisera à l’instant où ...

Oui, je sais. Une simple peluche n’a strictement rien à faire dans la boutique, même si elle est un peu rétro. Mais je n’y peux rien, elle me fait craquer avec ses grands yeux. Je la trouve adorable. J’ignore tout de ses origines, sa marque ou son histoire. Si ça se trouve, elle pourrait tout aussi bien avoir été faite par un particulier pour ce qu’on en sait. Tout ce que je peux vous dire, c’est que son existence remonte au moins jusqu’en 1972.

De toute façon avec une tronche pareil, elle ne fera pas tâche parmi le reste de la marchandise…

Source: Tales From the Crypt (Segment #1: “And All Through the House”)
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The Road Virus Heads North. C’est le titre plutôt étrange de cette toile, que nous avons trouvé durant un vide-maison dans une petite ville du Maine. L’illustration a tout de suite suscitée notre intérêt, mais l’histoire qui l’accompagne était bien plus captivante encore. Le tableau a été réalisé par un jeune homme de 23 ans du nom de Bobby Hastings, un jeune garçon très perturbé. Look métalleux, squelettique, piercings… C’est lui le personnage sur la peinture, ou du moins son alter-ego, le Virus de la Route.

Hastings était ce qu’on peut appeler un génie torturé. Un artiste vivant encore chez ses parents et passant son temps a s’exprimer à travers son art...