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Le Pr. Peter Price est un homme bien étrange. Scientifique et hypnotiseur, il a fabriqué lui-même cette drôle d’invention qui semble l’aider dans ses travaux. La méthode de fonctionnement est assez difficile à cerner, mais elle se déroule comme suit: le sujet prend à la main cette sphère dorée et la regarde. Subitement, il va réaliser qu’il ne s’agit pas d’un objet fait d’une seule pièce et qu’elle s’ouvre en deux hémisphères. La mécanique se déploie alors pour libérer un projecteur de lumière et un miroir tournant, lesquels vont  composer une série de flashes qui vont hypnotiser l’utilisateur. On peut remarquer que la moitié supérieur dispose également d’un cadre rotatif décoré d’étranges runes...

Voici des carreaux d’arbalète très particuliers que nous avons récupérés de chez un chasseur de loup-garou, en Italie. Spécialisé en maléfices et magie noire, il n’a pas pour habitude de s’attaquer aux créatures des Ténèbres avec des armes conventionnelles, et bien que son arbalète soit antique, les munitions qu’il utilise n’ont rien de simples flèches.

Hormis la tête de dragon qui décore l’embout des traits, vous pourrez remarquer les lueurs surnaturelles qui en émanent. Chacune correspond à un ordre d’utilisation: vert, rouge et bleu. En tirant ainsi les carreaux sur un loup-garou, celui-ci mord la poussière instantanément, transpercé par les lames magiques se cachant a l’intérieur des carreaux...

Voici l’objet maudit par excellence. Baptisé l’Anneau de la Lune, ce bijou est extrêmement ancien et dangereux. Si son origine demeure plutôt obscure, on sait qu’il a une affiliation avec la démonologie et le satanisme et qu’il est porteur de malédiction. En effet, quiconque met l’anneau à son doigt se retrouve dans l’impossibilité de le retirer, l’objet absorbant le sang de l’hôte à travers de petites blessures.

Le sortilège est quasi immédiat et le comportement du porteur va s’altérer, développant des crises d’angoisses et des accès de colères qui vont s’accroître jusqu’à la prochaine pleine lune...

Un clap de cinéma. Rien de spécial, mais il me fallait absolument celui-ci. Pourquoi ? Parce qu’il provient du tournage improbable d’un film d’horreur italien… Démons 7 ! Pour refaire un bref historique de la série, il n’existe en fait que deux véritables Démons: Dèmoni et Dèmoni 2, réalisés respectivement en 1985 et 1986 par Lamberto Bava (fils du légendaire Mario Bava). L’existence d’un Dèmoni 3 a souvent été rapportée, mais il s’agit d’une demi vérité. Le film n’a jamais été réalisé et son scénario fut transformé pour donner celui de La Chiesa / The Church de Michele Soavi, en 1989. Plusieurs films portent toutefois le titre alternatif de Demons 3: le Black Demons de Umberto Lenzi, le téléfilm La Casa dell’Orco de Lamberto Bava…

• La Setta / The Sect de Miche...

Un panier oriental contenant une corde épaisse et une flûte. Ceux qui connaissent le monde de la prestidigitation reconnaitront ici les éléments du célèbre tour de la corde indienne. Pour ceux qui en ignore tout, l’idée est de s’installer devant le panier avec l’instrument de musique et de jouer un air. La corde surgit alors du panier tel un serpent et s’élève dans les airs. Le magicien peut cesser de jouer et grimper a la corde comme si elle était véritablement fixée au plafond. C’est un acte mythique qui nous vient des Indes orientales, beaucoup en on déjà entendu parlé.

S’ils sont uffisamment intéressant en eux-mêmes pour faire partie de la boutique, sachez que ces objets ont aussi une histoire...

Une bien étrange peinture, n’est-ce pas ? A l’origine, il s’agissait d’une œuvre tout à fait appréciable, l’autoportrait du célèbre peintre anglais Moore. Vous savez, celui qui trouva la mort accidentellement en 1973 après s’être fait renversé par un camion à Londres. La peinture fut retrouvée dans le studio qu’il occupait peu avant son décès. Dans cet état. Il se trouve qu’un peintre de bâtiment fit malencontreusement tomber son bidon de diluant de son échafaudage, lequel traversa le velux du studio pour se renverser sur le tableau. Le produit corrosif détruisit le portrait pour lui donner l’aspect que nous voyons.

Le plus étrange dans cette affaire, c’est que les enquêteurs estiment que le moment où s’est déroulé l’incident serait environ le même que celui du déc...

Nous avons récupéré quelques poupées vaudou d’une ancienne plantation du Sud des États-Unis. Il ne s’agit pas de véritable poupées dans le sens traditionnel, mais plutôt de petits pantins qui ont été fabriqué afin d’y placer des âmes en peine pour leur donner  refuge. Un peu à la manière des pantins d’André Toulon en quelque sorte. L’histoire remonte a la fin de la guerre de Sécession, lors de l’abolition de l’esclavage. Le propriétaire d’une plantation ne supporta pas l’idée que ses domestiques puissent devenir libre et, lorsque ces derniers voulurent quitter les lieux, fit un véritable massacre. Lynchages, incendies, pendaisons… Une centaine de Noirs trouvèrent la mort cette nuit là...

Voilà une marchandise que vous pourriez a priori trouver dans n’importe quel magasin de jouets. Ce sont de petits soldats en plastique confectionnés par la Morris Toy Co, une grande marque de jouets aux États-Unis. Comme on peut le voir l’emballage prend la forme de ces footlockers, ces caisses militaires renfermant généralement des munitions. Le contenu se divise en deux parties: les soldats et leurs véhicules. Les premiers sont situés dans un compartiment situé à l’emplacement du couvercle tandis que les seconds sont sécurisés dans la boite elle-même, placés de manière a éviter les chocs.

Il s’agit ici d’un pack spécial contenant, comme précisé sur la boite, une vingtaine de soldats d’infanterie (26 précisément, puisqu’il faut y rajouter quelques...

Voici un autre tableau récupéré chez les Washingtoniens. On peut supposer que celui-ci aussi fut commandé par George Washington durant son mandat, lorsqu’il espérait faire des États-Unis d’Amérique une patrie pour cannibales. Il s’agit là d’une représentation de la véritable histoire de George Washington, un moment d’importance puisqu’il symbolise la naissance des Washingtoniens a travers le cannibalisme. Nous avons déjà évoqué les faits, mais rappelons-les: la scène se déroule en hivers, lorsque Washington et ses troupes mourraient de faim à Valley Forge. Comme le présente la peinture, les soldats en furent réduit a manger leurs morts. C’est là que le futur président réalisa qu’en plus d’apprécier le goût de la chair humaine, il pouvait tirer de cet acte une certaine puissance...

Voici le tout premier portrait que George Washington a commandé, lorsqu’il devint Président des États-Unis d’Amérique. Il reflète ses véritables ambitions, à savoir faire du cannibalisme la priorité nationale et la raison d’être du pays. Nous le voyons ainsi entouré de courtisanes, dévorant de la chair humaine dans une sorte d’orgie qui deviendra chose commune lorsque sera fondé sa secte des Washingtoniens. Ce n’est évidemment pas le genre de chose que l’on retrouve dans les livres d’Histoire !

Ce tableau figura parmi les autres reliques secrètes du groupe, cachées dans le quartier général de Mount Vernon, jusqu’à ce que le Gouvernement actuel n’élimine les cannibales.

Source: Masters of Horror (2.12 – “The Washingtonians”)
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