Enzo G. Castellari tagged posts

Keoma (1976)

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Keoma

(1976)

“Non ha bisogno di me. È un uomo libero. E chi è libero non ha bisogno di niente !

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Arrivé au milieu des années 70, le western commence à s’essoufler sérieusement et même le cinéma Bis italien est contraint de le reconnaître, mettant la pédale douce sur ce genre jusqu’ici très prolifique. Cela n’empêcha pas certains de vouloir continuer à le faire vivre et des films continèrent à sortir jusque dans les années 80 et 90, même si beaucoup moins nombreux. Débarquant en 1976, Keoma n’est donc ni le dernier, ni même un représentant du déclain, et pourtant il semble clore définitivement le chapitre en troquant le style “à la Sergio Leone” souvent imité pour quelque chose de plus expérimental...

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Violent remake, shitty remake…

Ce n’est pas un secret, je ne fais plus du tout de news concernant l’actualité du cinéma Horreur / Fantastique par rapport à mes débuts. La dernière fois que j’ai osé écrire quelque chose sur un film en préparation, c’était pour le crossover Gingerdead Man vs. Evil Bong de Charles Band, et uniquement parce que le projet était un gros délire que j’étais impatient de découvrir (le résultat, évidemment, fut une déception). C’était en 2013. Le fait est qu’à notre époque il n’y a plus vraiment de place pour ce type d’articles, car tout va trop vite. La presse papier a forcément un train de retard à cause de son rythme de parution, tandis que les sites Internet se réactualisent constamment, parfois plusieurs fois par mois en fonction des rumeurs, ragots et révélations qui sont livrées...

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Inglorious Basterds

ingloriousbasterdsticket (1)

 

Inglorious Basterds
(2009)

Pathé Saran, Orléans (45)

 

ingloriousbasterdsticket (2)

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La Mort au Large (L’Ultimo Squalo, 1981)

La Mort au Large, alias L’Ultimo Squalo (le squale ultime, ça c’est du titre !) est un film Bis. Les bisseries sont des spécialités du cinéma italiens périodes 70-80, surtout 80 en fait, et un peu 90 aussi faut dire… Je ne parle pas des “western spaghetti” (nom attribué par les américains pour fustiger des westerns meilleurs que les leurs !) mais des sous- quelque chose. Sous-Indiana Jones, sous-Mad Max, sous-Alien… Des ersatz à la pelle reprenant le thème du film à succès du moment pour se faire un petit paquet de pognon même quand on est fauché. Le film de zombies est celui qui fit le plus d’émules par ailleurs. Grâce à ces films on retiendra quelques noms, comme Lucio Fulci (pour Zombi 2 surtout, meilleur bisserie de tous les temps), Bruno Mattei (Les Rats de Manhatt...

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