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Inara, the Jungle Girl (2012)

Inara, the Jungle Girl

(2012)

Il y a quelques années je vous avais parlé de films fétiches japonais, que l’on peut apparenter à du cinéma pornographique du fait de son lien étroit avec le BDSM à la différence que la représentation du coït lui-même, parfois même de la nudité, peut en être totalement absent. Par définition le fétiche est une “préférence” qui va exciter, et il n’est ainsi pas nécessaire d’en faire plus. Et si pendant longtemps cette notion se rapportait à des pratiques érotiques et/ou sexuelles ou a des tenues que l’on retrouve dans le milieu proche du bondage (uniforme militaire, de secrétaire, latex, cuir, etc), la nouvelle génération a fini par lui trouver de nouveaux terrains d’exploration...

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Leprechaun 4: In Space (1996)

Leprechaun 4: In Space

(1996)

“As Shakespeare says, shit happens.

Suite à sa très bonne expérience avec Leprechaun 3, Brian Trenchard-Smith rempile de son propre chef lorsque la Trimark annonce un quatrième volet aux aventures du farfadet meurtrier. C’est lui qui propose le pitch de ce nouvel opus, décidant de poursuivre sur la lancée humoristique amorcée avec le dernier film et choisissant d’expédier le lutin… dans l’espace ! De la parodie volontaire qui permet de changer de cadre et surtout d’adresser un clin d’œil au public quant à la manière d’accueillir la franchise. Leprechaun n’est pas Chucky, ni Freddy, et tend plus vers l’humour que l’horreur. Avec une telle idée, l’Australien peut même tirer partie de son petit budget pour rendre hommage à l’esthétisme...

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Leprechaun 3 (1995)

Leprechaun 3

(1995)

Scott. Come over to the Green Side. I’ll make you rich.

Les retours sur investissements de Leprechaun 2 ont dû être suffisamment bon pour engendrer un nouveau film, mais pas assez pour justifier la sortie de celui-ci sur les grands écrans. Retour à la case départ – et au rayon vidéo – pour la franchise, avec ce Leprechaun 3 sorti là encore tout juste un an après le précédent. Les coupes budgétaires se ressentent fortement et tout au long du film il est possible de pointer du doigt les petits “défauts” liés à la production, entre des recyclages de plans, les allez-retour des protagonistes dans les mêmes lieux, quelques imperfections dans les effets spéciaux et, étrangement, d’occasionnelles soucis de mise au point avec la caméra ! Po...

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Frank Castle: The Punisher #71-74 – Welcome to the Bayou (2009)

 

Frank Castle: The Punisher #71-74

Welcome to the Bayou

(2009)

Lorsque Garth Ennis présente la version définitive du Punisher en 2004, la revue s’intitule simplement The Punisher et se trouve encore liée à l’univers officiel Marvel (dit 616). Bien vite il apparait que ce nouveau Frank Castle ne peut plus vraiment co-exister avec les super-héros, et le personnage est déporté vers un label secondaire du nom de MAX. Une sorte d’équivalent de Vertigo chez DC Comics, qui permet aux auteurs de pondre des histoires plus sombres que d’ordinaire ou portant sur des thèmes plus sensibles. Et graphiquement plus osées puisque s’adressant à un public “mature”. Cette version remaniée se présente comme un véritable monstre s’attaquant à des criminels résolument humains...

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D.I.D. – Neuro Leeches (Superman / Supergirl: Maelstrom, 2009)

Lost (and found) in the 5th Dimension

Épisode 11

Damsel In Distress

NEURO LEECHES

Superman / Supergirl: Maelstrom (2009)

Bienvenu dans cette première édition de D.I.D., acronyme particulier signifiant Damsel in Distress et se référant à un grand classique de l’Exploitation: la demoiselle en détresse. Un stéréotype que l’on retrouve dans le genre depuis ses tout débuts, aussi bien dans la littérature pulp, le comic-book et bien entendu le cinéma, souvent à travers l’Horreur et l’Action. Pour autant, s’il est vrai que le terme englobe approximativement tous personnages féminins se retrouvant en grand besoin d’être secourue par un héros mâle ultra macho, il est devenu une sorte de synonyme pour désigner une Pin-up dans une situation romancée de détresse...

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Superman / Supergirl: Maelstrom (2009)

Superman / Supergirl: Maelstrom

(2009)

Publiée début 2009 en cinq numéros, la mini-série Superman / Supergirl: Maelstrom est en quelque sorte une suite à la storyline The Supergirl From Krypton, tirée des pages de Superman / Batman en 2004 et dessinée le regretté Michael Turner. Elle en reprend le même thème: l’exploration du personnage de Supergirl, qui vient à peine de débarquer sur Terre et a besoin d’être guidée, formée, pour devenir l’égale de son cousin Superman. On y retrouve les mêmes idées comme la solitude de l’adolescente qui a passé son enfance dans une navette spatiale, son manque de confiance en elle et son inexpérience dans l’utilisation de ses pouvoirs...

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Creature From the Depths (2007) – 2ème PARTIE

ROAD TO HALLOWEEN IV

Creature From the Depths

(2007)

– 2ème PARTIE –

Après une fastidieuse introduction bien plus longue que je ne l’avais prévu, et nécessitant une séparation avec la véritable chronique pour faciliter la lecture, nous pouvons enfin plonger (haha) dans Creature From the Depths pour de bon. Une histoire d’horreur paru en Juillet 2007 (même si elle fut certainement complétée bien avant, comme le prouve sa chaotique histoire de production) et qui fut vendu “dans la traduction du classique L’Étrange Créature du Lac Noir mais à la manière de Lovecraft”. C’est vrai en partie, car le monstre évoque effectivement Gill-man dans son apparence (quoiqu’en plus agressif), mais aussi parce que l’histoire s’inscrit ouvertement dans le Cthulhu Mythos...

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Creature From the Depths (2007) – 1ère PARTIE

ROAD TO HALLOWEEN IV

Creature From the Depths

(2007)

– 1ère PARTIE –

Au premier regard, Creature From the Depths semble être un banal comic-book horrifique racontant une quelconque histoire d’homme-poisson sanguinaire. Une one-shot passant relativement inaperçu dans la masse et qui n’a pour lui que ses séquences gore et ses quelques références à H.P. Lovecraft pour amuser la galerie. C’est sans doute pour cette raison que personne ne parle jamais de ce titre, trop inintéressant par rapport à ce qui existe sur le marché. Et pourtant l’œil attentif saura relever plusieurs bizarreries surprenantes qui peuvent intéresser l’amateur de curiosité éditoriale.
En effet, si l’œuvre est publiée par la compagnie Image Comics, pas la dernière pour taper dans l’Horreur (r...

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Secret Slave, Chapitre V

Secret Slave

V. La Belle et la Bête

La fin d’après-midi arriva et avec elle un nombre toujours plus croissant de visiteurs. Nombreux sont ceux qui voulaient profiter des derniers jours de beau temps, et les enfants de la liberté avant le retour à l’école. Éliane dû justement abandonner son amie pour s’occuper de son petit frère, lui ayant promis de l’emmener faire quelques manèges. Le jeune garçon avait trainé avec quelques amis dans la journée, visitant surtout la salle d’arcade et les simulateurs 3D avant de retrouver les deux jeunes femmes. Il était surexcité, parlant à toute vitesse à propos d’un “monstre” qu’il avait rencontré dans la maison hantée suite à un pari stupide avec ses camarades. Natasha ne pu s’empêcher de rire...

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Qu’est-ce que “Secret Slave” ?

Je profite de la publication de ce quatrième chapitre pour présenter un peu plus ce projet, au cas où certains n’oseraient pas se lancer dedans sans en savoir plus. Car je comprends qu’une série de textes interminables ne soient pas tentant lorsqu’il n’existe aucun résumé pour dire de quoi cela parle…

Pour faire court je peux décrire la série comme un spicy soap opera. “Spicy”, épicé en français, dans le sens où effectivement cela touche à des thèmes sexy et érotiques. L’intrigue commence comme la plus sotte des romances: les héros sont deux jeunes gens, un garçon et une fille, qui sont amoureux mais trop timides pour se l’avouer...

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