Suite du délire sur la Mimique, après qu’Alice se soit faite engloutir par le monstre. La voilà donc prisonnière de l’estomac de la créature, laquelle va prendre son temps pour déguster sa petite “friandise” à la manière d’un bonbon que l’on suce jusqu’à ce qu’il fonde complètement dans la bouche ! Reprenant un peu le concept des Blobs et autres monstres gélatineux, j’ai fais de cette Mimique une bestiole possédant un rythme de digestion très lent, couvrant ses proies de ses sucs gastriques qui vont dissoudre toutes les protections des aventuriers qu’elle a ingérée (armures, vêtements, armes) avant de s’attaquer à l’organisme pour ensuite l’absorber. Une bave corrosive qui met cependant beaucoup de temps pour agir et qui n’occasionne que quelques brûlures et démangeaisons au tout début du contact.
Bien entendu, la proie est prisonnière d’un espace réduit et ne peut pratiquement pas bouger, et donc encore moins sortir du coffre puisque n’ayant aucune prises pour se relever. C’est dans cette situation que nous retrouvons la pauvre Alice, laquelle ne possède plus que son bikini après s’être fait avaler. Un véritable bain de bave pour la miss qui se retrouve bien punie pour sa vilaine curiosité. Notre Mimique semble en tout cas ravie d’avoir pu avaler une aventurière aussi peu attentive et compte bien profiter pleinement de ce repas généreux. Le voici à passer sa langue sur de la chair humaine toute fraîche, et malheureusement pour Alice, ça chatouille ! Dans l’impossibilité de se protéger ou de se débattre, la sorcière subit une véritable torture qui va alors déclencher son courroux…
Question échelle je suis pas du tout au point puisque le coffre, certes gros mais dans lequel on ne peut tenir que tassé, contient une Alice relativement à l’aise vu sa position. J’aime beaucoup ses yeux gourmands cependant, même s’ils un côté pervers qui en ressort un peu. Alice par contre n’est pas plus gâtée dans le dessin que dans la situation car on lui retrouve son côté cyclopéen ignoble (à cause du dessin de profile), ses pieds ressemblent à des chaussons et la bave qui l’englue ne cache pas les défauts d’anatomie (cette cuisse énorme). Reste l’effet d’obscurité représenté par la trame au crayon, pour rappeler que si nous avons une vision en rayons X de la scène, il fait complètement noir dans le ventre du monstre et que l’on y voit rien. Ce n’est sûrement pas suffisant pour retranscrire la scène du point de vue de la jeune femme mais ça permet de s’en faire une idée…
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