Chez les amoureux de la contre-culture et du cinéma avec des couilles, il restera à jamais l’inventeur du projet RoboCop. Pour la masse populaire branchée télé-poubelle et émissions interchangeables, il sera reconnu comme une aimable figure paternelle à travers les séries Preuve à l’Appui et NCIS: Los Angeles. Les anciens se souviendront de lui comme du fils de José Ferrer, auteur d’un L’Affaire Dreyfus de 1958, tandis que les autres se rappelleront qu’il fut le cousin de George Clooney.
Mais outre ces reconnaissances, plutôt simples et évidentes, il existe une poignée de personnes qui salueront Miguel José Ferrer pour qui il était vraiment: lui-même.
Avec son improbable tête toute ovale et ses yeux globuleux, l’acteur était un de ces seconds couteaux dont on a tendance ...
Category News
Il y a quelques années, j’ai publié ce petit billet bien énigmatique pour quiconque n’a pas lu Marvel, Avengers Academy et les aventures de X-23 à l’époque. Le titre lui-même était une référence au fameux “No more mutants” de Scarlet Witch, à la fin des évènements de House of M. En clair: la jeune femme subit une perte traumatisante et, dans sa douleur, utilise ses pouvoirs pour remanier la réalité. Dans la conclusion de cette intrigue, elle souhaite la disparition du genre Mutant qu’elle associe à la tragédie qu’elle a vécue et prononce ces quelques mots, modifiant à jamais (soit-disant) l’univers Marvel en faisant quasiment disparaitre l’Homo Superior de la surface de la planète. J’ai envie de dire que la petite guerre que se livre actuellement la compagnie et l...
Lire...La plus belle des princesses vient de nous quitter.
L’annonce, il y a quelque jour, de son arrêt cardiaque, avait un peu affolée toute une population. Celle qui vit avec la tête dans les étoiles. Sans revenir sur sa carrière – je ne me sens pas d’écrire sur le sujet, il est indéniable que son rôle de Leia Organa a éclipsé la totalité de sa filmographie. Une malédiction peut-être, pour un acteur, mais est-ce vraiment grave si ce personnage a pu entrer dans la légende, devenant à la fois intouchable, intemporel et inoubliable ?
Nous sommes très nombreux a avoir espéré qu’elle se remette de cette attaque, et les nouvelles qui ont suivies quelques heures plus tard, décrivant son état comme stable, nous avaient presque convaincues...
Lire...Oui, ce titre d’article est un peu faux comme vous pouvez vous en douter. Ou trafiqué, légèrement détourné, pour mieux attirer le lecteur curieux. Du clickbait, comme on dit. D’ailleurs le fait que je vais relater ici n’a rien d’extraordinaire et va sûrement faire rouler des yeux certains d’entre-vous, lesquels se demanderont si je n’ai pas mieux à faire de mon temps que d’écrire à propos de ça (et si, totalement, j’ai des choses plus importantes sur le feu en vrai).
Et pourtant je ne peux pas m’empêcher, c’est comme ça. Voyez cela comme un article bouche-trou, du contenu provisoire en attendant le renouveau de 2017 qui va quelque peu changer le blog.
Donc, je suis censé vous parler de Jean-Pierre Dionnet mais je ne vais pas vraiment le faire...
HALLOWEEN AFTERMATH
2016
Road to Halloween s’est fait sur un coup de tête. Road to Halloween II était un projet plus ambitieux mais s’est terminé par un échec. Road to Halloween III est tout simplement anecdotique, mais au moins je l’ai prévu comme ça. Il faut dire que l’an dernier j’avais vu gros: un marathon de films d’horreur au rythme d’une chronique par jour, pour tout le mois d’Octobre. A l’époque mes horaires de boulot me permettaient encore de travailler, puis de voir un film et enfin de pondre un petit texte avant la fin de la journée, et la seule raison pour laquelle l’ampleur de la tâche m’a dépassée c’est parce que ne suis pas foutu d’écrire juste quelques lignes...
Lire...Oui je sais. Road to Halloween traînasse et ne risque pas d’être très consistant d’ici ce 31 Octobre, encore une fois. Mais je l’ai prévu comme ça, après le quasi burnout subit l’an dernier dont je me remets en fait à peine (véridique: voyez à quel point ce blog est vide depuis 12 mois) et en prenant en compte les aléas de la vie de tous les jours. Du coup je ne me sens pas vraiment coupable de pondre ce petit texte pour une fois que l’envie m’en prends véritablement. Car c’est un petit coup de cœur que j’ai eu un peu plus tôt dans la journée en visitant un pourtant quelconque Cash Express de la région, et j’avais envie de partager ma folie…
Les Cash, ont les connait tous, nous autres passionnés de films bas de gamme...
Lire...Il y a un an jour pour jour, je me lançais dans un long texte pour fêter en quelque sorte l’anniversaire de L’Imaginarium. Pas simplement le blog, mais toute cette “zone” de chroniques et de retour sur mes visions de films, mes lectures et mes avis variés sur des sujets touchant à l’Imaginaire en général.
L’écriture, totalement improvisée, avait fortement déviée du sujet de base que j’avais choisi et je m’étais retrouver à parler de tout et de rien sans structure précise (un équivalent de mon schéma de pensé au quotidien vraisemblablement), au point que je m’étais promis que pour l’anniversaire suivant, je reviendrai là-dessus...
Il vient d’être porté à mon attention qu’un nouvel opus basé sur Death Race 2000, le film culte de Paul Bartel, va voir le jour. En fait le tournage a commencé en Février de cet année pour se conclure le 17 de ce mois. Premièrement je dois dire que j’admire l’idée que l’on puisse encore faire un long métrage en toute discrétion à notre époque: à l’heure des réseaux sociaux, on sait maintenant tout du cheminement d’une production, des rumeur aux fuites d’images ou de vidéos, au point que l’un des problèmes principaux du cinéma d’aujourd’hui consiste à devoir garder les spectateurs dans les salles ou vers les bacs DVD alors qu’ils peuvent désormais voir un film avant même sa sortie officielle.
S’il est vrai que j’ai été souvent absent ces derniers mois, je n’ai pas eu...
Petits changements au sein de Mental Hurlant puisque l’expérience a fini par muter de façon inattendue. En effet l’idée était à l’origine de concevoir de “petits” textes courts, vite fait, n’explorant jamais en profondeur leurs sujets. Une sorte d’avis écrit en vitesse au jour le jour, sans s’embêter avec des recherches ou des analyses. Si les deux ou trois premiers articles abondaient dans ce sens, les suivants sont vite devenus des chroniques ordinaires. Peut-être pas aussi poussées que les vraies mais progressivement au moins aussi longue. Du coup impossible de vraiment tenir un rythme quotidien (et pourtant j’ai essayé !).
Je relance donc le concept mais sans nécessairement me limiter aux critiques de films...
Lire...Commandé en début de semaine, reçu aujourd’hui même, autant dire que je n’ai même pas eu le temps d’attendre. Médusa Fanzine s’est retrouvé dans ma boite au lettre et le moins que je puisse dire c’est qu’il s’en est fallu de peu pour qu’il rejoigne ensuite la poubelle. Pourquoi ? En bien visez la taille du machin ! On ne dirait plus un fanzine mais le catalogue printemps-été de Maison du Monde ! Sans déconner, j’ai mesuré et on tape dans le 1,2 cm d’épaisseur. Je savais que l’objet serait impressionnant, on avait été prévenu, mais je ne m’attendais pas à ça.
On peut tout à fait s’imaginer que le pavé a été prévu ainsi par son créateur en raison de la pause annuelle à venir, et ceux qui lisent lentement auront peut-être de quoi tenir jusqu’au prochain numéro.
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