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L’Ordre d’Aurelius (The Order of Aurelius) est une secte vampire ancienne et vénérée. Elle fut fondée aux alentours du XIIème Siècle par Aurelius, un prophète ayant publié un grand nombre de prédictions pour ses semblables Nosferatus. Les membres de l’Ordre ne se déplacent généralement que pour s’assurer de la réalisation des évènements décrits par leur Maître, et tous portent une bague semblable à celle-ci, laquelle représente la rune de la Fidélité. En l’ouvrant, on peut voir a l’intérieur le symbole de l’Ordre: un soleil et trois étoiles.

Source: Buffy the Vampire Slayer (Épisode 1.05: « Never Kill a Boy on the First Date« )
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Des pieux en bois, de toutes les tailles, de toutes les formes.
L’annonce fait un poil vulgaire alors je vais arrêter là. De toute façon, vous savez bien comment en s’en sert.

Source: Buffy the Vampire Slayer (1.01 – “Welcome to the Hellmouth”)
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Voilà un ancien tome très épais traitant du mythe des vampires. C’est un ouvrage complet et bien pratique, employé par l’organisation du Watchers’ Council pour la formation des Tueuses.

Source: Buffy the Vampire Slayer (1.01 – “Welcome to the Hellmouth”)
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Voici le portrait de la Princesse Daragan Draculus. Si le nom vous semble familier, c’est parce qu’il s’agit bien d’une variation de celui du célèbre Comte. Une autre branche de la famille, en fait. Comme nous pouvons le voir sur cette peinture, la Princesse possède un physique assez particulier, notamment en ce qui concerne son visage. Une caractéristique vraisemblablement spécifique à cette partie de la famille, tout comme le sont leurs coutumes et pratiques.

Les Draculus ne possèdent pas de canines et ne prennent pas la vie de leurs victimes. Bien au contraire, ils partagent leur sang avec une personne qui deviendra leur servant bien aimé. Car c’est à travers la vie d’un humain qu’ils peuvent véritablement exister, sans quoi ils risquent se laisser périr...

Le très classique pieu a vampire et son maillet. Un accessoire que l’on ne présente plus. Livré dans sa boite pourtant l’inscription “en cas de vampires, brisez la vitre”. Oui, comme ces images rigolotes qu’on peut trouver sur Internet.

Ces instruments appartenaient au (soi-disant) chasseurs de vampire Ludwig Von Helsingmeister, alias The Big Kahuna, dont la lignée aurait inspirée à Bram Stocker le célèbre Abraham Van Helsing pour son roman Dracula. Selon le Dr. Helsingmeister, ils appartiendraient à sa famille depuis des années. Au vue de l’attitude désinvolte, très baba cool, du personnage, permettez-nous d’en douter fortement.

Source: An American Vampire Story / American Vampire
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Cette vieille boite abimée (car terriblement ancienne) renferme une très belle cape. Une cape de vampire. Et il faut reconnaître que c’est une belle pièce, avec la classique doublure couleur rouge-sang ainsi qu’un fermoir avec une petite chaîne dont les médaillons représentent des têtes de lions. Mais attention, il ne s’agit pas d’un vulgaire vêtement ! Parce qu’il a appartenu à une créature de la nuit, ce manteau possède un certain pouvoir… Celui de transformer son porteur en vampire. Pas son porteur original, mais tout humain qui choisirait de s’en vêtir. Progressivement, celui-ci va obtenir un tas de pouvoirs surnaturels propres aux suceurs de sang: absence de reflets, lévitation, poussée de canines… Bien sûr une utilisation prolongée entraine une transformation complète...

Juste le scénario d’un petit film d’horreur qui n’a jamais vu le jour. Curse of the Bloodsuckers date du tout début des années 70 et se trouvait être la production d’une petite compagnie de cinéma anglaise (vraisemblablement la Amicus, même si aucun témoignage officiel n’a pu confirmer cette hypothèse). Il s’agissait d’un film de vampire très classique, dans la même veine que ceux réalisés par la Hammer en ces temps, et le rôle principal été attribué au grand Paul Henderson, qui devait jouer le Dracula de service accompagné de la très belle Carla Lind. La raison pour laquelle ce film n’est pas connu est parce qu’il demeure inachevé suite a la mystérieuse disparition de M. Henderson...

Oui, je sais ce que vous allez me dire. “Qu’est-ce que c’est que ces trucs dégueulasse ?!”. Et je ne peux qu’être d’accord avec vous, mais étant donné le caractère hautement insolite de la trouvaille je ne peux que lui accorder une place dans la boutique. Ces deux poches graisseuses sont donc… des prothèses mammaires ! Je les ai récupérés à la Dr. Weisman Institute de Beverly Hills, une clinique spécialisé dans la chirurgie esthétique. Le Dr. Weisman (ou Dr. Larry comme il préfère être nommé) possède une méthode bien a lui pour réaliser ses opérations et n’a pas recours au silicone ou au gel. Chez lui, l’implant mammaire est similaire a une opération de transplantation, où l’on remplace les tissus graisseux par d’autres...

Ce sont deux antiques bobines de film nitrate, provenant des Archives Nationales de la ville de Prague. Ses experts pensent que les images ont été tournées dans ce qui est désormais la Tchécoslovaquie, avant 1900 (bien qu’il s’agisse de la date que l’on puisse lire sur les bobines, probablement dans un soucis de classement). Elles furent ensuite en possession du réalisateur Stanley Kubrick, jusqu’à sa mort. Le film qui s’y trouve est assez étrange. On peut y voir une jeune femme fleurir une tombe lorsque surgit de nulle part une autre femme. Celle-ci semble se montrer compatissante mais elle mord subitement la première dans le cou. Un vampire ? Une succube, comme le disait Kubrick ? Quoiqu’il en soit, il n’y a ni narration, ni semblant de mise en scène...

Underworld: Nouvelle Ère
Underworld: Awakening (2012)

Pathe Wepler, Paris (75)