Sara Malakul Lane tagged posts

Beyond the Gates (2016)

Beyond the Gates

(2016)

Titré d’après la biographie de Lucio Fulci, ce Beyond the Gates est une belle déception. Un film qui non seulement bouffe au râtelier de la nostalgie 80s comme bien d’autres (même si, à sa décharge, il est ici plutôt question des 90s) mais qui reprend aussi la formule “hommage lovecraftien à la série B et au Bis italien” que la Astron-6 a perfectionnée avec leurs derniers méfaits, The Editor et The Void. Bon point: la musique de Wojciech Golczewski (compositeur sur Late Phases et We Are Still Here) est effectivement très réussi dans le genre retrowave et donne une ambiance forcément plaisante à l’ensemble...

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Jurassic City (2015)

Jurassic City

(2015)

Avec son titre et son affiche qui détourne le logo de Jurassic Park, ce Jurassic City tombe dans la catégorie des mockbusters, films au rabais produits à grande vitesse afin de profiter du succès d’une grosse production hollywoodienne à la mode. La Asylum s’en est fait une spécialité mais nombreuses sont les petites boites qui surfent sur la même vague, bâclant généralement le travail puisque partant du principe qu’elles réalisent un nanar volontaire. Tant pis si les acteurs sont nuls et les effets spéciaux pourris, puisque le public visé se moquera de ce qu’il y a à l’écran quoiqu’il arrive, alors pourquoi perdre du temps et de l’argent en s’appliquant ? Lorsqu’en 2015 sort sur les écrans Jurassic World, d’innombrables clones DTV vont déferler...

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Un Aller Pour l’Enfer (Belly of the Beast, 2003)

Un Aller Pour l’Enfer

Belly of the Beast

(2003)

Il y a peu je vous ai parlé de l’actrice Tahitienne Sara Malakul Lane, dans l’incroyablement mauvais 12/12/12. Cela tombe bien que la fin du monde n’est finalement pas eu lieu, car après l’avoir vue dans ce film et Sharktopus, il fallait que je regarde le premier opus de sa trilogie du nanar: Belly of the Beast. Avant de jouer la fille d’Eric Roberts, elle fut celle de Steven Seagal dans ce petit film d’action faisant partie de la génération direct-to-video de la filmo de l’aïkidoka.

Abandonnons Sara quelques instants pour parler un peu de Steven Seagal. La dernière fois que j’ai écris quelque chose sur lui, c’était il y a des années avec Désigné Pour Mourir...

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12/12/12 (2012)

12/12/12

(2012)

Aujourd’hui c’est le 12/12/12. Une date un peu spéciale puisque c’est la toute dernière dans son genre, celle qu’on écrit avec trois fois le même chiffre ! C’est tout bête mais c’est rigolo, alors pour marquer le coup pourquoi ne pas chroniquer un film qui lui fait référence ?

L’an dernier, c’était le 11/11/11 et j’avais voulu faire de même avec le film de Darren Lynn Bousman. Manque de bol, il s’était révélé si mauvais et si irritant que j’ai abandonné le projet pendant le processus d’écriture. Faut dire que parler d’un film de ce style révèle un peu de l’exploit: non seulement on a une date butoir (s’y prendre trop a l’avance fait perdre du charme à l’entreprise) mais en plus l’œuvre est généralement très mauvaise...

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