Neil Marshall, celui à qui l’on droit le très sympa Dog Soldiers (j’assume) et le chef d’œuvre The Descent, fait l’étrange choix de nous livrer Doomsday comme prochain opus de sa carrière. Surprenant car, malgré un budget de blockbuster assez confortable, on voit mal comment un sujet pareil a pu attirer le réalisateur. On voit encore moins comment la qualité pourrait être au rendez-vous après une pourtant très bonne progression entre les deux précédent métrage. Car pour l’heure, Doomsday ne ressemble en rien à ce que l’on aurait pu attendre du réalisateur, et au contraire évoque beaucoup trop à ce qui a (récemment en plus) déjà été vu…
Ainsi l’histoire, digne d’un bon vieux Bis façon Les Nouveaux Barbares, nous raconte la mise en quarantaine de l’Écosse suite à...
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