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Le Droit de Rêver, troisième vignette. L’illustration se penche sur les passions de l’héroïne, la danse et la musique, et montre ce que sa vie aurait pu être si elle n’avait pas sombrer dans l’horreur et les combats. Ce qu’elle pourrait redevenir maintenant qu’elle reprend goût à la vie. Natasha apparait ici comme guitariste, rockeuse passionnée en plein solo, chantant et se déhanchant avec énergie. Éliane doit adorer, surtout avec ce pantalon serré et ce petit débardeur !

Réalisé à l’aquarelle par Nathalie.

Deuxième pièce du projet Le Droit de Rêver, toujours réalisée à l’aquarelle par Nathalie. Nous y retrouvons Natasha désormais plus détendue, prête à recommencer sa vie et à s’éloigner des horreurs qui l’ont torturé depuis si longtemps. Elle cherche ici l’inspiration pour coucher sur papier ses rêves et ses sentiments afin d’exorciser et mieux expliquer ce qu’elle a vécue. Une façon de faire le point et d’expliquer son comportement difficile à ses proches et à Ely. Un récit qu’elle nommera “Le Droit de Rêver”.

Un peu de douceur avec cette image d’une Natasha apaisée, pour un projet intitulé Le Droit de Rêver. La jeune femme est ici entourée de ses seuls amis, son corbeau Rain et Eliane, dont la patience et la tendresse arrivent progressivement à avoir raison des démons de l’Ambrienne. Plus douce, plus détendue, celle-ci commence à adopter un style de vie nouveau, en témoigne ses vêtements plus ordinaires et confortables, et autorise même le contact affectueux comme le montre le détail des mains qui se rejoignent et la tête d’Ely posée sur son épaule. Les demoiselles se rapprochent de plus en plus et leurs sentiments grandissent… Un amour naissant symbolisé par la couleur rose du fond et même la date, puisque la St Valentin est imminente !

En raison d’un mauvais genou, il m’arrive d’utiliser une canne pour marcher. Une canne qui ressemble énormément à celle du Dr. House, de la série homonyme. Si je suis loin de ressembler à Hugh Laurie – et c’est dommage – l’objet me va plutôt bien, comme l’atteste ce dessin de Nathalie, pondu comme ça pour le fun. Avec le chapeau, le cuir long et les New Rock, ça donne un style.

Juste un petit dessin de moi, avec notre lapin(e) Opale dans les bras.
Dessin et aquarelles par Natalhie.

Fêtons, presque en retard, le second anniversaire du blog – ou « blob », comme j’aime l’appeler, ce qui est justement souligné ici), avec un petit dessin de Nathalie ! Voilà. Et maintenant au boulot, apparemment… (notez qu’elle me tire par le tentacule)

LA CHASSE AUX MONTRES MOLLES

    Agenouillée dans sa chambre, Moe contemplait la vieille horloge qu’elle tenait dans ses petites mains de bois. Elle examinait l’artefact minutieusement, appréciant toute la complexité de cet objet mécanique: le cadran de cuivre avec ses gravures et ses reliefs, la finition des aiguilles de fer noir, faites d’arabesques et de tiges entrelacées. Il y avait aussi les chiffres romains, peint à l’encre de Chine. Ce n’était là que l’œil hypnotique de ce monstre cyclopéen en perpétuel mouvement et la petite fille ouvrit les panneaux du corps de bois rouge pour exhiber son cœur.
    L’enchevêtrement de rouages et d’engrenages dorés, le mouvement infini des ressorts, le cliquetis de toutes ces pièces semblant êtres prisent d’une vie pro...

Le vidéoclub est une espèce en voie d’extinction, ce n’est un secret pour personne et à vrai dire on peut déjà dire qu’il n’en existe plus vraiment. Plus comme autrefois j’entends, avec les VHS, les affiches de sorties récentes, les autocollants et constructions promotionnelles en carton, et des locaux d’une taille conséquente. De nos jours le vidéoclub se limite à une pièce de petite taille, n’affichant plus que des DVDs sur des présentoirs de tailles modestes et accuse d’une sélection beaucoup moins intéressantes.
C’est totalement le cas d’Atout Vidéo, que je fréquentais durant mon enfance juste avant le Boom du nouveau support, et qui a troqué son espace gigantesque contre un préfabriqué grand comme mon salon...