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Lycanthropazine (Gunnm, 1991)

Lost (and found) in the 5th Dimension

Épisode 4

LYCANTHROPAZINE

Gunnm (1991)

“– Gally ? On dirait comme un nom de fleur…
– Moi j’aime bien… C’est un ami qui l’a trouvé.

Il m’apparait que je ne parle pas assez manga ou d’anime dans ce blog, et la raison n’est pas parce que j’esquive le sujet ou que je déteste, mais tout simplement parce que cela fait un bon moment que je n’ai pas vraiment eu l’occasion de le faire jusqu’ici. La faute aussi à ces séries composées de 30 volumes de plus de 200 pages chacune. Pour être franc, j’ai énormément lâché ces médias après la conclusion de Hellsing et je n’y reviens qu’occasionnellement. Mais avec l’horrible bande-annonce de Battle Angel Alita, alias Gunnm de son vrai titre, je me sens obligé de toucher deux mots à propos ...

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Gabrielle (2001)

Gabrielle

(2001)

Paru en 2001 chez l’éphémère éditeur Pointe Noire (qui déposa le bilan un an plus tard), Gabrielle est la première œuvre de Kara, auteur français sous pseudonyme qui occupe ici les postes de scénariste, illustrateur et coloriste. Un petit one-shot qu’il a tenu a réaliser pour sortir au moins une BD dans sa vie, lui qui était avant tout chroniqueur pour le magazine Animeland et le site BoDoï, Explorateur de Bandes Dessinées.
Alors évidemment ce premier ouvrage est victime des défauts habituels chez les jeunes auteurs et on peut lui reprocher certaines choses...

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Fear Effect (2000, PlayStation) | Chapitre 1: Fear Factor

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PlayStation

Fear Effect

(2000)

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Datant de l’an 2000, Fear Effect fut l’un des meilleurs jeux de la défunte PlayStation première du nom, mélange incroyable de cyberpunk, de mythologie antique et d’horreur. Un cocktail détonnant, gore et sexy, où l’on croise aussi bien des citées futuristes, des maisons closes et des zombies que des dieux anciens et de la magie chinoise. Une sorte de pur film d’exploitation où l’héroïne se dénude et où le sang gicle fréquemment. A l’origine titré Fear Factor, le jeu a même dû changer de nom en cours de développement en raison de sa ressemblance avec le groupe de métalleux du même nom ! Réalisé avec la technique du cel shading, Fear Effect semble même s’inspirer des animés japonais et inclus également de nombreuses scènes d’actions...

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Pixel the Pixie

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Personnage rêvassé durant le trajet ou le séjour en Espagne, Pixel doit beaucoup à la série Buffy Contre les Vampires et à l’épisode Moloch, puisqu’elle en reprend le concept. En gros, une petite fée (pixie) dont le rôle est d’être une muse auprès des artistes humains, est capturée et ensorcelée, devenant alors prisonnière d’une œuvre, livre ou peinture. Elle ne pourra être libre que lorsque quelqu’un lira / étudiera le support. Les siècles passent et la magie disparait, jusqu’à notre époque de science où, un jour, quelqu’un va retrouver l’œuvre et la numériser avant d’y jeter un œil plus attentif. Pixie se réveille alors dans un monde virtuel qui lui est inconnu, seule survivante de son espèce féérique. Prisonnière du numérique, elle explore le Net et emma...

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Cyber Mask

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Une version cybernétique du Masque que j’ai improvisé ici. Il se compose d’un masque à bec en métal, avec une visière rouge proche de celle de Cyclops des X-Men, et d’une cape dont je ne savais pas quelle serait la couleur tout d’abord. J’avais en tête un gris clair pour donner un aspect très urbain au look général, mais j’avais peur de faire trop redondant avec la couleur métallique du masque. J’ai alors demandé l’avis de Nathalie qui elle voyait plus une cape noire aux reflets bleus métallisés… Autant dire que ce fut une véritable bataille. Le masque, le visage et les cheveux n’avaient posés aucun problème mais je ne savais pas du tout comment m’y prendre...

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Gunnm: Last Order, Vol.7

Sortie du manga qu’on attend beaucoup tout en ne l’attendant plus du tout. Gunnm, série phare du manga cyberpunk en arrive à son septième volet pour ce Last Order et… La déception est heureusement un poil moins flagrante que d’habitude.

Alors que la série originale se faisait rapide et disait ce qu’elle avait à dire en 9 volumes, Last Order souffre du syndrome “Dragon Ball Z” (que les jeunes d’aujourd’hui ne connaissent plus, parlons alors de syndrome “Naruto”): une succession de combat certes parfois très jolis, pleins d’images tape-à-l’œil qui iconisent à mort ses personnages très souvent hyper charismatique, mais complètement inutile à l’histoire au point de la ralentir d’une façon évidente.
Ce volume 7 prolonge ces combats, et oui, mais par contre se permet d’a...

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