Encore un croquis, moche, sur une Alice en pleine dépression nerveuse. Celui-ci montre son besoin de tendresse et d’amour tandis que sa solitude commence à lui devenir insupportable. Alors qu’elle préfère généralement rire de cette “malédiction” qui l’empêche d’avoir une relation sur le long terme avec un homme (ou une femme), ici la sorcière craque en réalisant que sa vie sentimentale n’est qu’une suite d’échecs lamentables avec de très douloureux souvenirs. On pourrait remonter jusqu’à la disparition de sa sœur jumelle dans son enfance pour parler de ce besoin d’amour qu’elle ressent, ce thème étant l’un des principaux chez le personnage. Manque de bol, ce dessin ne lui rend pas vraiment hommage tant il est raté.
Alice, agenouillée au sol dans sa salle de bain (juste avant d’essayer de se défigurer), explose en pleurs… Mais sa tête est littéralement compressée et on pourrait presque croire que la partie supérieur du crâne a été arrachée ! Les larmes sont à peine visibles et de toute façon trop grosses, et le bras qui lui cache les yeux ne ressemble à rien… ou alors il manque la main… Le corps d’Alice n’est pas terrible de toute façon même si le principe de croquis minimaliste était un parti-pris (d’où l’absence de détails). Bref c’est moche, autant passer à autre chose…
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