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Tales of Halloween (2015)

ROAD TO HALLOWEEN II

The October Society’s

Tales of Halloween

(2015)

C’est déjà le 31 et je n’ai que très peu de temps pour écrire une dernière chronique (temps écoulé, mais comme le dirait Wendy, Halloween c’est toute la nuit, du coup me voilà à prolonger mon délais – NdA). Concluons donc ce Road to Halloween 2015 avec le bien nommé Tales of Halloween, un film à sketches datant de cette année et qui, contrairement à All Hallow’s Eve 2, se montre tout à fait respectable et thématiquement bien ancré dans la fête aux fantômes. En fait il s’agit d’une véritable anthologie horrifique (et non d’une compilation vite balancée pour engranger quelques dollars) et les responsables ont eu la bonne idée de chercher l’inspiration du côté du génial Trick ʽr Treat, t...

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The Convent (2000)

The Convent

(2000)

Nuns, guns and gasoline.

Mike Mendez s’est fait connaître du public en 1996 avec son très amusant Serial Killers et ce malgré une absence totale de moyens. Les choses ne sont pas très différentes ici avec pourtant une bien meilleure distribution du film. Si l’argent manque encore (et le tournage fut à ce titre un véritable calvaire), Mendez continu de se la jouer fun et de détourner les sacro-saintes valeurs des États-Unis: cette fois la Religion.

Il est ici question d’un couvent où, dans les années 60, la jeune Christine commis un massacre en tuant les nonnes et le prêtre qui y officiaient, prétextant qu’ils étaient en fait des démons...

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Demolition Man (1993)

Demolition Man

(1993)

I’ve seen the future. Know what it is ?
It’s a 47 years old virgin drinking a banana-broccoli shake and singing ‘I’m a Wiener’ !

Demolition Man fait partie de ces quelques films, comme Predator 2 et dans une certaine mesure Last Action Hero, qui font la synthèse de tout le cinéma d’action des années 80. Si Predator 2 utilisait un casting bien typé contre son chasseur extraterrestre et que Last Action Hero opposait fiction à réalité en utilisant la comédie, Demolition Man déplace la violence et la vulgarité de ce type de cinéma dans un lieu totalement inapproprié: un monde pacifiste, politiquement correct et aseptisé au possible.

Rien que l’introduction du film, dans un Los Angeles de 1996 complètement ravagé par le crime, est s...

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