Monthly Archives juin 2020

The Meg (2018)

The Meg

(2018)

Holala, quel film oubliable ! Pensez ce que vous voulez des gros blockbusters américains à la mode du genre films Marvel ou Fast and Furious, mais au moins ceux-là proposent quelque chose pour justifier leur nature de film à grand spectacle. Bons ou mauvais, originaux ou pâles imitateurs, ils essaient tous un minimum de se faire remarquer pour faire gagner quelques dollars à leurs producteurs. The Meg, en revanche, n’a aucune idée de ce qu’il doit montrer à l’écran et se trouve ainsi dépourvu de toutes scènes remarquables. Il n’y a là-dedans rien qui n’ait été déjà vu ailleurs, en mieux ou en pire, rien de particulièrement raté ou réussi, et donc rien qui ne puisse déclencher la moindre émotion au spectateur. Seule exception: ce money shot vu dan...

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BloodRayne – ブラッドレイン (2004)

BloodRayne Magazine

BloodRayne – ブラッドレイン

(2004)

On ne peut pas dire que BloodRayne, développé en 2002 par Terminal Reality (le méconnu mais sympathique Nocturne), ait remporté un gros succès. De nos jours on se souvient surtout de la saga à travers les films peu fidèles de Uwe Boll, mais en 2004 le distributeur Majesco Entertainment fit tout son possible pour faire de Rayne, l’héroïne dhampir des jeux, la nouvelle Lara Croft. Pour coïncider avec la sortie de BloodRayne II, la licence fut distribuée entre différents groupes pour créer tout une gamme de produits dérivés pouvant attirer l’attention sur le jeu: outre la mise en chantier du premier film, cette année vit la publication d’une série comics chez Digital Webbing, une apparition du personnage dans le...

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Getting Lucky (1990)

Getting Lucky

(1990)

I’m not Jesus Christ, I’m a Leprechaun.

Getting Lucky, étrangement retitré Bikini Boy chez nous, est la tentative un peu triste du producteur Philip J. Jones de livrer une sex comedy pour teenagers dans l’esprit de Zapped ! et Une Créature de Rêve. Sans surprise le résultat ressemble beaucoup à son film précédent, Princess Warrior, dont il partage la même nature de softcore camouflé en film tout public (!) avec un humour au ras des pâquerettes et un rendu ultra cheap. Par là je veux dire que la chose fut filmée en deux semaines sans le moindre permis, et avec une chaise roulante pour effectuer les travellings de caméra...

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