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Killjoy 2: Deliverance From Evil (2002)

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Killjoy 2: Deliverance From Evil

(2002)

People need to get more fun out of death.

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Le moins que l’on puisse dire c’est que Killjoy premier du nom n’était pas vraiment un chef d’œuvre impérissable. Malgré tout le film dû être suffisamment rentable pour que Charles Band en commande une suite, avec pour seule condition qu’elle soit aussi cheap que possible afin qu’il puisse en tirer un minuscule bénéfice, aussi insignifiant soit-il. Et ainsi Killjoy 2: Deliverance From Evil accomplit l’exploit d’être encore plus misérable et mal foutu que son prédécesseur, limite incompétent sur le plan technique et dépourvu du moindre scénario. En gros voilà du shot on video tourné à l’arrache dans la forêt avec un simple caméscope et une dizaine d’acteurs au total...

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Tales of Halloween (2015)

ROAD TO HALLOWEEN II

The October Society’s

Tales of Halloween

(2015)

C’est déjà le 31 et je n’ai que très peu de temps pour écrire une dernière chronique (temps écoulé, mais comme le dirait Wendy, Halloween c’est toute la nuit, du coup me voilà à prolonger mon délais – NdA). Concluons donc ce Road to Halloween 2015 avec le bien nommé Tales of Halloween, un film à sketches datant de cette année et qui, contrairement à All Hallow’s Eve 2, se montre tout à fait respectable et thématiquement bien ancré dans la fête aux fantômes. En fait il s’agit d’une véritable anthologie horrifique (et non d’une compilation vite balancée pour engranger quelques dollars) et les responsables ont eu la bonne idée de chercher l’inspiration du côté du génial Trick ʽr Treat, t...

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Hell Asylum (2002)

ROAD TO HALLOWEEN II

Hell Asylum

(2002)

Les origines de Hell Asylum remontent à une époque très trouble pour la série B, le marché vidéo et pour Charles Band, grand manitou de la Full Moon. A la fin des années 90, celui-ci est dans une période sombre qui enterre pratiquement sa compagnie. Fini l’époque des Puppet Master, de Dollman et de pleins d’autres petites productions DTV qui étaient pour la plupart quand même soignées et mémorables. Ses partenaires financiers l’abandonnent et la qualité des films diminuent d’années en années. On touche le fond à partir de 1998 mais les choses vont continuer à empirer pendant quelques temps, l’obligeant à capitaliser sur des franchises connues (Puppet Master, qui ne s’en relèvera jamais), des produits dérivés (notamment de...

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