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Bring the Gold | Neely Comics

Bringthegoldneeley (1)

Neely Comics

Bring the Gold

Bringthegoldneeley (2)

Pour présenter brièvement Brad Neely, il est un animateur, scénariste et musicien ayant trainé ses guêtres aussi bien dans l’underground (Wizard People, Dear Reader, parodie audio de Harry Potter) que dans la grande industrie (South Park de 2007 à 2009), et plusieurs de ses sketches animés ont été diffusés sur Adult Swim. Parce qu’une diffusion télévisée reste compliqué étant donné son humour absurde et “adulte”, il lança également sa propre chaine YouTube, TheRealBradNeely, où il est possible de voir ses vidéos sans la moindre retouche. S’y trouvent ses séries Baby Cakes, China, IL et America, Now ainsi que quelques extras comme ce Bring the Gold, conçu spécialement pour fêter la Saint Patrick...

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Getting Lucky (1990)

Getting Lucky

(1990)

I’m not Jesus Christ, I’m a Leprechaun.

Getting Lucky, étrangement retitré Bikini Boy chez nous, est la tentative un peu triste du producteur Philip J. Jones de livrer une sex comedy pour teenagers dans l’esprit de Zapped ! et Une Créature de Rêve. Sans surprise le résultat ressemble beaucoup à son film précédent, Princess Warrior, dont il partage la même nature de softcore camouflé en film tout public (!) avec un humour au ras des pâquerettes et un rendu ultra cheap. Par là je veux dire que la chose fut filmée en deux semaines sans le moindre permis, et avec une chaise roulante pour effectuer les travellings de caméra...

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A Christmas Horror Story (2015)

A Christmas Horror Story

(2015)

Voilà un film qui essaie désespérément d’être le Trick ʽr Treat de Noël, mais n’est pas Michael Dougherty qui veut. Surtout quand celui-ci a déjà proposé son projet pour la saison, le génial Krampus dont la simple annonce donna quasiment naissance à une Krampusploitation jusqu’ici inexistante. D’ailleurs c’est sans surprise que la créature fait également son apparition ici, par deux fois, avec toute la campagne promotionnelle tournant autour d’elle et de son duel contre Santa Claus. Pratiquement de la publicité mensongère tant cette confrontation n’est pas vraiment le sujet du film est se retrouve expédiée dans les toutes dernières minutes.
Qui plus est le film ne va pas jusqu’au bout de son concept contrairement Trick ʽr Treat, e...

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Leprechaun: Back 2 tha Hood (2003)

Leprechaun: Back 2 tha Hood

(2003)

“Even if you steal for God, you still have to pay the Devil.

Compte-tenu des mystérieux problèmes de production dont a souffert Leprechaun in the Hood, il n’est pas étonnant de voir la Trimark plaquer la franchise. Celle-ci est heureusement récupérée par Lions Gate (qui en toute honnêteté récupère un peu n’importe quoi dans son catalogue) qui engendre un nouvel opus après quelques années de gestation. Bonne nouvelle: Gabe Bartalos et Warwick Davis reviennent, garantissant la continuité entre ce nouveau Leprechaun et les précédents, et assurant surtout le retour de la fanbase. Car bien que la série change de bannière, la formule reste la même et l’idée est de continuer les aventures du lutin irlandais comme d’habitude...

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Leprechaun in the Hood (2000)

Leprechaun in the Hood

(2000)

A friend with weed is a friend indeed

Il est loin le temps où la Trimark faisait tout pour imposer son Leprechaun, entre produits dérivés et parades pour le premier opus, et budget confortable avec sortie cinéma pour le second. Arrivé à Leprechaun 5, qui débarque tardivement après un rythme initial d’un film par an (quatre années d’hibernation), la stratégie marketing se montre discrète et se contente de reprendre le même gimmick que dans les volets précédents – placer le lutin Irlandais dans un cadre décalé – pour vendre son produit. Cette fois-ci le ghetto, alors très tendance en cette fin 90s / début 2000 avec les DTV de Ice-T, Snoop Dogg, Coolio et DMX qui fleurissent dans les programmes télé et les rayons DVD. Las, ...

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Leprechaun 3 (1995)

Leprechaun 3

(1995)

Scott. Come over to the Green Side. I’ll make you rich.

Les retours sur investissements de Leprechaun 2 ont dû être suffisamment bon pour engendrer un nouveau film, mais pas assez pour justifier la sortie de celui-ci sur les grands écrans. Retour à la case départ – et au rayon vidéo – pour la franchise, avec ce Leprechaun 3 sorti là encore tout juste un an après le précédent. Les coupes budgétaires se ressentent fortement et tout au long du film il est possible de pointer du doigt les petits “défauts” liés à la production, entre des recyclages de plans, les allez-retour des protagonistes dans les mêmes lieux, quelques imperfections dans les effets spéciaux et, étrangement, d’occasionnelles soucis de mise au point avec la caméra ! Po...

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Leprechaun 2 (1994)

Leprechaun 2

(1994)

Cry as you may, cry as you might.
It’s going to be one hell of a wedding night.

On a souvent tendance à dire que les suites sont inférieures aux originaux, que les n°2 ne pourront jamais égaliser ou surpasser leurs prédécesseurs. Cette andouille de Kevin Williamson en a même fait un running gag dans son très nul Scream 2, se trouvant incapable de citer le moindre exemple. Ce n’est pourtant pas ça qui manque dans l’univers des films d’horreur et de la série B, et plusieurs titres viennent immédiatement en tête: Critters 2, Evil Dead 2, Maniac Cop 2, Puppet Master 2… et donc Leprechaun 2, qui débarque tout juste un an après le premier opus. Une sortie qui semble précipité, mais avec deux fois le budget de son prédécesseur et la prévision d...

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Leprechaun (1993)

Leprechaun

(1993)

Fuck you, Lucky Charms !

Si la New Line Cinema est connue sous le nom de “The House That Freddy Built”, car devant un succès phénoménal aux Griffes de la Nuit qui la plaça dans la cours des grands, Trimark Pictures pourrait, elle, être surnommée “The Little House That Leprechaun Built”. Car Leprechaun est son seul véritable titre de gloire. Et si je rajoute le “petit” ce n’est pas tellement pour faire une mauvaise vanne mais surtout parce que la compagnie n’a jamais vraiment décollée, ne produisant que de modestes films: Kickboxer 2, Dolly Dearest, King Cobra, Le Dentiste… Essentiellement de la série B de vidéoclubs, un marché alors en hausse en ces années 90. Sans se placer en concurrente directe de la Full Moon, il faut reconnai...

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Leprechaun: Origins (2014)

Leprechaun: Origins

(2014)

Dire que la campagne marketing de Leprechaun: Origins est un fiasco serait un euphémisme. Résumons les faits: le film est le résultat d’un partenariat entre la WWE et la Lionsgate, au même titre que la suite tardive du plutôt bon See No Evil, avec Kane (le frère de l’Undertaker !), et compte naturellement sur la présence d’un catcheur au sein du casting. Il s’agit ici de Dylan Postl, connu sous le pseudonyme de Hornswoggle dans le ring, un nain cascadeur très rock’n roll et tout à fait sympathique. Si l’annonce d’un nouveau slasher avec le Big Red Monster n’affole pas les foules, il en va autrement avec ce qui se présente comme un Leprechaun sans Warwick Davis. Il faut dire que la mode est, depuis longtemps, aux remakes et reboots de tout poil, ...

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