H.P. Lovecraft tagged posts

Le Manuel des Monstres

Entrée #30

Charles Dexter Ward

Charles Dexter Ward était le lointain descendant de l’occultiste Joseph Curwen. Après avoir découvert son héritage, il fut par les Arts Sombres lui-même et ramena son ancêtre à la vie pour en savoir plus. Ils poursuivirent leurs recherches ensemble jusqu’à ce que Wade finisse par réaliser la folie de leurs expériences. Curwen le tua, le dépouillant de sa chair avant de voler son identité pour poursuivre son travail, cachant les restes de sa victime dans une malle.

Un détective privé enquêtant sur le changement de comportement de Ward découvrit la vérité ainsi que le corps du défunt. Il déroba le cadavre et utilisa le Reflux, un élixir pouvant ressusciter les morts, sur les os afin de combattre Curwen...

Le Manuel des Monstres

Entrée #29

Joseph Curwen

Joseph Curwen était un scientifique et occultiste du 18ème Siècle. A la recherche de l’immortalité, il trouva une manière de vaincre la Mort et de ramener les défunts à la vie grâce aux Arts Sombres et à un élixir appelé le Reflux. Une potion pouvant ressusciter n’importe quel être vivant, peu importe l’état de sa dépouille. Ses expériences lui attirèrent la colère de villageois et, sachant que sa fin était proche, il paya un croquemort afin qu’il conserve son corps. Il s’assura aussi d’engrosser une femme afin d’avoir un successeur, lequel jouera un rôle important dans ses plans de retour...

Cet article a été écrit pour le forum Steampunk.fr

Steamcraft #1

(2012)

Je vous en avais déjà parlé et j’avais promis de vous tenir au courant. Voilà donc que sort enfin Steamcraft, la rencontre pratiquement obligatoire entre l’univers de Howard P. Lovecraft et du mouvement Steampunk. Publié par Antartic Press Entertainment, ce premier numéro succède à une série de sketches parue précédemment dans l’ouvrage Steampunk: Sketchbook et marque enfin le commencement d’une véritable série du genre pour l’éditeur, après quelques revues pin-up et recueils d’histoires courtes.

On doit le projet à l’artiste David Hutchison, un scénariste et dessinateur de BD qui a œuvré sur a peu près toutes les productions d’AP Entertainment. On lui doit notamment Final Girl, une m...

La compagnie de comics indépendante AP Entertainment sort régulièrement depuis quelques mois une série de comics basé sur le Steampunk. Pas de véritable histoire, généralement plus des pin-up, tel ce Victorian Secret: Girls Of Steampunk. Le dernier ouvrage en date, Steampunk: Sketchbook, offre cependant une série de petits croquis qui feront (ou pas) partie d’une histoire qui sera publié ultérieurement… Steamcraft. Un crossover entre l’univers Steampunk Victorien et celui de H.P. Lovecraft.

Je peux poster quelques croquis si ça intéresse.

Ci-dessus, un aperçu d’un Profond (Deep One) customisé version Steam. Pourquoi ? Parce que c’est un membre du Culte du Cthulhu qui n’a pas encore pleinement rejoint l’océan et qui se cache encore parmi la population humaine...

Cette grande bannière de fête foraine remonte autour des années 20/30. Elle appartenait a l’un de ces cirques itinérant qui sillonnaient les États-Unis au début du siècle. Il est impossible de ne pas remarquer le nom inscrit sur la banderole: Lovecraft. Je vous rassure, il n’y a aucune relation entre le célèbre écrivain et ces gens du spectacle. Compte tenu de l’époque, il est probable que les forains aient utilisés son nom en référence à ses histoires d’horreur, dans l’idée d’attirer la foule, ou bien en rapport à son goût du mystère et de l’étrange. Bref, s’il est presque décevant de pas tenir un élément inédit de la vie de H.P. Lovecraft, cela demeure quand même une belle curiosité.

Source: From a Whisper to a Scream (segment #3)
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Voici sans doute l’un des artefacts les plus précieux de notre univers. Il s’agit ni plus ni moins que de la clé qui ouvre ouvre la tombe de Cthulhu, immergé dans sa demeure de R’lyeh. Lorsque les étoiles s’aligneront et que la cité surgira des eaux, alors l’objet permettra de libérer le dieu endormi. Cette relique fut façonnée par les Grands Anciens eux-mêmes via un savoir et des talents depuis longtemps perdus, et elle ne peut être détruite par l’Homme ou par aucune force connue…

Elle fut construite en deux parties, lesquelles furent longtemps tenues séparées: l’une perdue dans la dépression de Qattara, l’autre gardée par le Conseil de Cthulhu au sein de l’Université de Miskatonic...

Voilà une arme atypique, étrange hybride entre le masse et le harpon. Elle est unique et n’est employée que par les membres du Conseil de Cthulhu, une organisation secrète formé par l’écrivain H.P. Lovecraft lui-même. Alors attention, un peu d’histoire, car il convient bien de différencier le Conseil de Cthulhu et le célèbre Culte de Cthulhu. Si ce dernier a été formé sous l’influence de la divinité pour préparer son réveil, le Conseil a été fondé par le romancier. Pour préparer lui aussi le monde au retour éventuel des Grands Anciens, il a déguisé ses visions et cauchemars en fictions.

Le Conseil, qui prend siège à la fameuse Université Miskatonic d’Arkham, dans le Massachusetts, a pour but de protéger le monde de ces abominations...

Une carte du monde très ancienne, frappé du sceau du plus célèbre des Grands Anciens: Cthulhu. Étant donné son âge, elle est bien sûr très abîmés (plusieurs trous et déchirures) et il convient d’en prendre le plus grand soin. Nous n’avons pas daté le document, toutefois on peut sans aucun doute l’estimer vieux de plusieurs siècles.

Il s’agit d’une carte indiquant la localisation d’objets précieux. De vieilles reliques qu’il convient à tout prix de retrouver et de protéger puisqu’elles sont en relations avec les Grands Anciens et leur réveil éventuel. L’une de ces reliques est la fameuse clé de la Cité de R’lyeh, où est enfermé Cthulhu lui-même. Nous avons pu localiser une autre de ces reliques en Antarctique, là où résident les ruines d’une Cité des Grand...

Bon, inutile de perdre le temps de tout le monde et d’expliquer ce qu’est le Necronomicon. Tout le monde en a entendu parlé, tout le monde sait ce dont il s’agit. Tout le monde sait aussi qu’il en existe divers copies, de l’original à la reproduction, en passant par les versions bootleg, condensées, modifiées et les multiples traductions. La forme varie souvent, bien que respectant la plupart du temps le mythe de la chair et du sang humain. Cette version ne fait pas exception.

Comme on peut le voir, l’ouvrage est incroyablement massif. Grand, large, épais, il n’est pas le petit grimoire de poche qu’on retrouve souvent dans les exemplaires de seconde catégorie...

Voici d’antiques instruments de sorcières, comme on pouvait en trouver sur leurs autels. Il s’agit d’un nécessaire à sacrifice, également utilisable pour d’autres types de cérémonies: un calice servant a recueillir le sang, et un couteau. Les deux objets sont réalisés de manière à se compléter, tant dans le fond que sur la forme puisqu’ils abordent le même design. Le calice, à trois pieds, possède un petit bec verseur, et la dague est constituée d’une lame serpent.

Source: Masters of Horror (1.02 – “Dreams in the Witch House”)
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